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Zubizarreta (Familia noble)
Blasón de España: libro de oro de su nobleza.
ZUBIZARRETA
D. Juan de Graviria y Olaso, señor de la torre de Gaviria, caballero de la órden de Santiago y comendador de Palomas, page del rey
D. Felipe II, gentil-hombre y caballerizo de Felipe III, por orden del cual fué á Italia con título de embajador y encargo de
acompañar á los hijos de Pedro de Médicis cerca de su tio el gran duque de Toscana, contrajo matrimonio con D.a Mariana de
ZUBIZARRETA, hija de Juan LOPEZ de ZUBIZARRETA, contador mayo r de las Ordenes y de Indias, y de D.a María de Amezqueta, su muger,
y tuvo por hijos á
D. CRISTÓBAL LOPEZ DE GAVIRIA Y ZUBIZARRETA, señor de la torre de Gaviria, page del rey D. Felipe III y primer caballerizo de
Felipe IV, caballero y trece dela órden de Santiago, comendador de Palomas, corregidor de Ronda y de Mar bella, capitan de lanzas
en Milan y de caballos en Flandes, teniente y, mas tarde, gobernador de la Guardia Española, conductor de Embajadores y varias
veces embajador cerca de los reyes de Francia. Casó con D.a María Josefa de Zavaleta y Zavala, señora de las casas de Zavaleta y
Azcárate, y murió en Madrid, año de 1662, sin dejar hijos, pues varios que tuvo murieron de corta edad;
D. Juan de DE GAVIRIA Y ZUBIZARRETA, caballero de la órden de Santiago, page del reyD. Felipe III y capitan de infantería de
Marina. Tomó parte en las jornadas de la Bahía de Todos Santos, en el Brasil, de la Rochela y de Cádiz, y murió, antes que su
hermano D. Cristóbal, sin llegar á tomar estado;
D.* CATALINA LOPEZ DE GAVIRIA Y ZUBIZARRETA GUEVARA OÑAZ y LOYOLA, señora del palacio y la torre de Gaviria y primera marquesa de
las Torres de la Pressa por gracia de Carlos II y Real cédula fechada á i8 de julio de 1680, casó dos veces; una con D. Alonso
Fernandez Marmolejo y Santillan, señor de Almencilla, caballero de la órden de Santiago y veinticuatro de Sevilla, que estaba
viudo de D." Isabel Ortiz de Melgarejo, de cuyo hijo D. Francisco, señor de varios Estados, tendremos ocasion de volver á hablar;
segunda, con D. Andrés de Madariaga é Iturbe, caballero de la órden de Santiago.
(Blasón de España: libro de oro de su nobleza : reseña genealógica ..., Volume 6)
Personajes conocidos :
Zubizarreta, Jerónimo, abogado, 1896.
Zubizarreta y Arana, Víctor compositor, 1899.
Zubizarreta y Gutiérrez, doctor derecho, 1900.
Zubizarreta, Carlos, narrador, 1904.
Zubizarreta Arrizabalaga, novelista, 1927.
Hormazas, Marqués de Marqués delio y Zubizarreta, abogado, 1947.
Azpiazu Zubizarreta, María L. redactora, 1955.
Elío y Zubizarreta, Bernardo de E. abogado, 1963.
ZUBIZARRETA ! Que dire sur ZUBIZARRETA ?
« Au temps qui détruit tout, l'homme répond par l'image »
ZUBIZARRETA est un nom qui s’accompagne d’un blason.
Origine du blason " ZUBIZARRETA " : " España, España (ii) "
Sont-ils tous descendants d’un ancêtre commun qui s’appelait ZUBIZARRETA.
L’origine du nom de famille ZUBIZARRETA n’est pas une personnification du hasard.
A la vérité, les ZUBIZARRETA ont, eux aussi, écrit l’histoire, à l’ombre de grands personnages.
Et, les armoiries ZUBIZARRETA ne suffisent pas à expliquer les raisons de votre curiosité.
Toutes images « ZUBIZARRETA », dans l’écoulement du temps, symbolisent la permanence des ZUBIZARRETA dans l’Histoire.
Le sceau des ZUBIZARRETA scelle ainsi, la charte de la position « mortel immortel » de cette famille ?...
Héraldique ZUBIZARRETA.
Un désastreux préjugé hérité de la Révolution, laissa penser que les armoiries étaient l’apanage de la noblesse.
Les nobles ne furent pas les seuls à posséder leurs blasons.
Les Etats, les villes, les provinces, les corporations, les ecclésiastiques, les laïques, les roturiers, etc. eurent leurs armoiries.
De nos jours, toute personne qui le désire, peut porter et arborer un blason.
Trop souvent, l’héraldique est considérée comme une discipline dominée des prétentions nobiliaires.
En fait, le blason permet d’identifier une famille, une personne.
Donner un « état civil » à de nombreux objets : œuvre d’art, antiquités,vaisselles, livres, etc., tout en les datant.
ZUBIZARRETA « Droit d’images ».
Chacun peut découvrir que son nom a laissé un « droit d’images » qui nous vient de l’Antiquité.
On nommait ainsi, en droit romain, le privilège par les patriciens seuls d’exposer,
sous l’atrium de leur maison, leur propre image et celles de leurs ancêtres.
Dans certains cas, on brisait les images de ses ancêtres et on les jetait à terre pour les fouler aux pieds.
C’est ce que l’on fit plus tard avec tous les blasons et armoiries de France pendant la Révolution de 1789.
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