DESCRIPTION
Bucelini de Richemont et de Grun ! Que dire sur Bucelini de Richemont et de Grun ?
« Au temps qui détruit tout, l'homme répond par l'image » (Michel Tournier)
« Bucelini de Richemont et de Grun est un nom qui s’accompagne d’un blason » ( , )
Sont-ils tous descendants d’un ancêtre commun qui s’appelait Bucelini de Richemont et de Grun.
L’origine du nom de famille Bucelini de Richemont et de Grun n’est pas une personnification du hasard.
A la vérité, les Bucelini de Richemont et de Grun ont, eux aussi, écrit l’histoire, à l’ombre de grands personnages ; et les armoiries Bucelini de Richemont et de Grun ne suffisent pas à expliquer les raisons de votre curiosité.
Toutes images « Bucelini de Richemont et de Grun », dans l’écoulement du temps, symbolisent la permanence des Bucelini de Richemont et de Grun dans l’Histoire.
Le sceau des Bucelini de Richemont et de Grun scelle ainsi, la charte de la position « mortel immortel » de cette famille ?...
Héraldique Bucelini de Richemont et de Grun.
Un désastreux préjugé hérité de la Révolution, laissa penser que les armoiries étaient l’apanage de la noblesse.
Les nobles ne furent pas les seuls à posséder leurs blasons.
Les Etats, les villes, les provinces, les corporations, les ecclésiastiques, les laïques, les roturiers, etc. eurent leurs armoiries.
De nos jours, toute personne qui le désire, peut porter et arborer un blason.
Trop souvent, l’héraldique est considérée comme une discipline dominée soit par des prétentions nobiliaires, soit par des préoccupations symboliques ou ésotériques, soit par l’effet « bling bling ».
En fait, le blason permet d’identifier une famille, une personne ; en outre de donner un « état civil » à de nombreux objets : œuvre d’art, antiquités, vaisselles, livres, etc., tout en les datant.
Bucelini de Richemont et de Grun « Droit d’images ».
Chacun peut découvrir que son nom a laissé un « droit d’images » qui nous vient de l’Antiquité.
On nommait ainsi, en droit romain, le privilège possédé, à l’origine, par les patriciens seuls d’exposer, sous l’atrium de leur maison, leur propre image et celles de leurs ancêtres.
Dans certains cas, on brisait les images de ses ancêtres et on les jetait à terre pour les fouler aux pieds.
C’est ce que l’on fit plus tard pour les armoiries des nobles pendant la Révolution Française.
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