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Zafarteza Ctes de Santa

Zafarteza Ctes de Santa_ Maria de Farmig_
Réf. : COA17035

ZAFARTEZA CTES DE SANTA

19.90TTC

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DESCRIPTION

Zafarteza Ctes de Santa ! Que dire sur Zafarteza Ctes de Santa ?
« Au temps qui détruit tout, l'homme répond par l'image » (Michel Tournier)
« Zafarteza Ctes de Santa est un nom qui s’accompagne d’un blason » (Maria de Farmig , )
Sont-ils tous descendants d’un ancêtre commun qui s’appelait Zafarteza Ctes de Santa.
L’origine du nom de famille Zafarteza Ctes de Santa n’est pas une personnification du hasard.
A la vérité, les Zafarteza Ctes de Santa ont, eux aussi, écrit l’histoire, à l’ombre de grands personnages ; et les armoiries Zafarteza Ctes de Santa ne suffisent pas à expliquer les raisons de votre curiosité.
Toutes images « Zafarteza Ctes de Santa », dans l’écoulement du temps, symbolisent la permanence des Zafarteza Ctes de Santa dans l’Histoire.
Le sceau des Zafarteza Ctes de Santa scelle ainsi, la charte de la position « mortel immortel » de cette famille ?...
Héraldique Zafarteza Ctes de Santa.
Un désastreux préjugé hérité de la Révolution, laissa penser que les armoiries étaient l’apanage de la noblesse.
Les nobles ne furent pas les seuls à posséder leurs blasons.
Les Etats, les villes, les provinces, les corporations, les ecclésiastiques, les laïques, les roturiers, etc. eurent leurs armoiries.
De nos jours, toute personne qui le désire, peut porter et arborer un blason.
Trop souvent, l’héraldique est considérée comme une discipline dominée soit par des prétentions nobiliaires, soit par des préoccupations symboliques ou ésotériques, soit par l’effet « bling bling ».
En fait, le blason permet d’identifier une famille, une personne ; en outre de donner un « état civil » à de nombreux objets : œuvre d’art, antiquités, vaisselles, livres, etc., tout en les datant.
Zafarteza Ctes de Santa « Droit d’images ».
Chacun peut découvrir que son nom a laissé un « droit d’images » qui nous vient de l’Antiquité.
On nommait ainsi, en droit romain, le privilège possédé, à l’origine, par les patriciens seuls d’exposer, sous l’atrium de leur maison, leur propre image et celles de leurs ancêtres.
Dans certains cas, on brisait les images de ses ancêtres et on les jetait à terre pour les fouler aux pieds.
C’est ce que l’on fit plus tard pour les armoiries des nobles pendant la Révolution Française.



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