DESCRIPTION
OLAZÁBAL
Guipuzcoa
Espagne
- OLAZÁBAL, Maison d’Aia.
✶ Armoiries:
" D'or, à un arbre de sinople, accompagné d'un sanglier passant de sable, brochant sur le pied du fût, le tout soutenu d'une terrasse de sinople, à la bordure de gueules, chargée de huit besants d'argent. "
Sources héraldiques :
- Armorial général d’Europe, par J.B. Rietstap (Gouda, 1861).
- Armorial d'Europe par J.B. Rietstap (Gouda, 1884, Berlin, 1934) (Gouda, 1887, Berlin 1937).
- Armorial général J.B. Rietstap, illustré par Victor et Henri Rolland (1903-1926). Colorisé par Lionel Sandoz (1993-2002).
- Diccionario heráldico y genealógico de apellidos españoles y americanos (86 v.), por Alberto y Arturo García Carraffa, 1920-1963.
- Enciclopedia heráldica y genealógica hispano-americana (88 v) ; por Alberto García Carraffa y Arturo García Carraffa, 1919-1963.
- Repertorio de Blasones de la Comunidad Hispánica + Apéndice ; del Instituto Salazar y Castro, Vicente de Cadenas y Vicent, Hidalguía, 1987.
- Diccionario onomastico y heraldico Vasco, J. de Querexeta, 1980.
✶ Histoire, Origines et Armoiries de la Famille OLAZÁBAL : Une Lignée Noble du Guipúzcoa.
OLAZÁBAL — Lignée des Parientes Mayores de Guipúzcoa
La lignée des OLAZÁBAL est originaire d'Alzo, dans les terres d'Aia, où elle était connue sous les noms « OLAZÁBAL », « OLAZÁBALEGI » et « OLAZÁBAL-TXIPI ». On retrouve également cette famille dans d'autres localités de Guipúzcoa, comme Tolosa, Ezkioga, Azpeitia, Rentería, Zestoa, Irún, Aia, Aduna et Anzuola, ainsi que dans trois maisons à Axpe (Atxondo) et une à Markina (en Biscaye).
Une branche de la famille émigra vers l’Amérique, tandis qu’une autre, originaire d’Axpe (baptisée à Abadiño, en Biscaye, en 1732), s’établit à Ozkabarte ou à Santo Domingo de la Calzada (Rioja). Le monastère de San Salvador de OLAZÁBAL, situé dans les terres d’Aia (Guipúzcoa), est mentionné dès l’année 1025.
Le nom OLAZÁBAL pourrait être dérivé de l'expression "Ferrería ancha" (« grande forge ») ou "cabaña ancha" (« grande cabane »), associant les termes "ola" (forge ou cabane) et "zabal" (large). Luis Michelena suggère également que cela pourrait signifier « plaine d’avoine », en associant olo (avoine) et zabal (plaine).
✶ La famille OLAZÁBAL est mentionnée à différentes époques :
À Azkoitia en 1631
À Fuenterrabía en 1773
À Tolosa en 1676 et 1818
À Zumaia en 1588
À Oñate en 1578
À Irún (avec deux maisons en 1772 et 1839)
À Elorrio en 1680
À Bilbao en 1826 (avec des références à une reconnaissance de noblesse suivie par le père d’un membre à Beizama en 1775)
À Valladolid en 1569, 1651 et 1814, notamment pour l’admission à la Real Compañía de Guardias Marinas en 1776 et 1777.
Les OLAZÁBAL ont également fourni des chevaliers de l’Ordre de Santiago (1624, 1788 et 1839), de l’Ordre d’Alcántara (1679) et de l’Ordre de Charles III (1786, 1818 et 1832). Félix OLAZÁBAL est mentionné comme l’un des libérateurs des Républiques sud-américaines. La famille était présente à Azpeitia dès 1319 et 1349, à Legazpia en 1407, à Ezkioga en 1411, à Tolosa en 1456, à Gabiria en 1462 et à Donostia-San Sebastián en 1566. On rapporte également leur participation à la bataille de Las Navas de Tolosa en 1212.
✶ Armoiries de la famille OLAZÁBAL
Les armoiries primitives (certifiées en 1650) : " D'azur, une chaîne d’or placée en bande, accompagnée de deux coquilles d’or, une de chaque côté."
La maison d’Aia : " D'or, un chêne de sinople, un sanglier de sable passant au pied du tronc, et une bordure de gueules ornée de huit besants d’argent. "
La maison d’Alzo : " D'or, un chêne de sinople, fruité d’or et terrassé de sinople, accompagné d’un sanglier de sable courant d’un côté et, de l’autre, d’un chasseur tenant une fourche, prêt à affronter le sanglier qui charge. Dans le chef, deux pommes de gueules. Certains remplacent le chêne par un pin arraché, exposant ses racines. "
✶ Autres branches et armoiries
Maison d’Irún (selon une certification de 1642) : " D'or, un chêne de sinople, fruité d’or, traversé par un sanglier de sable passant, avec des défenses et des yeux d’argent. "Devant le sanglier, un homme en cuirasse, casque bleu et chaussures de sable donne un coup de lance à la bête avec un javelot de gueules. Deux pommes de gueules ornent les côtés de la cime du chêne, avec une troisième au sommet.
Autres armoiries d’Irún (certifiées en 1671) : " D'or, un chêne de sinople, un sanglier de sable au pied du tronc, et trois pommes de gueules autour de la cime : une dans le chef et deux sur les côtés."
La maison appelée "Garaizabalerdikoa" dans le quartier de Gazeta, à Elorrio, est associée à une chaîne en bande, accompagnée de quatre coquilles (deux en haut, deux en bas) disposées en fasce. La bordure est ornée d'une chaîne continue.
✶ La maison de Modet (place de Kurutziaga) porte " Un arbre arraché et terrassé, un sanglier passant au pied du tronc, un chevalier en armure avec casque et plumet tenant une épée d’un côté et agrippant la défense du sanglier de l’autre. Une étoile à six rayons figure sous la cime du côté gauche. La bordure porte huit croix de Saint-André. L’écu est complété par une Croix de Saint-Jacques accolée, et une grande coquille au pied de l’écu. "
✶ D’autres branches des OLAZÁBAL possèdent également des armoiries distinctes, comme en gueules un chevron abaissé d’or, accompagné de trois besants d’argent dans le chef.
✶ OLAZÁBAL (de la Maison d'Alzo et d'Irún-Uranzu).
- Lignée des Parientes Mayores de Guipúzcoa (Grandes lignées nobles ou aristocratiques basques de Guipúzcoa) qui donna son nom au lieu d'Alzo de OLAZÁBAL, situé sur les terres d'Aya et dans le district de Tolosa, dont ils sont originaires.
Ils possédaient le patronage du monastère de San Salvador d'Alzo.
Ce monastère fut donné en l'an 1025 par García Aznarez et dame Gaila, son épouse, au monastère de San Juan de la Peña.
En 1445, la confirmation de la concession apostolique du patronage de San Salvador de OLAZÁBAL fut accordée à Fernando de OLAZÁBAL, Seigneur d'OLAZÁBAL.
- Ce qui précède est confirmé par l'information de noblesse réalisée par Joan Ochoa de OLAZÁBAL Arteaga dans la ville de Tolosa, le 16 novembre 1595. Cette information se termine en disant :
« … Les habitants (considéraient) qu'ils n'avaient aucun droit sur ledit patronage et que leur litige était injuste et non fondé, et qu'en conséquence ils chargeraient leurs consciences, tant en général qu'en particulier. Par conséquent, voulant apaiser leurs consciences, ils reconnaissaient ledit OLAZÁBAL comme l'unique et véritable Patron dudit monastère. »
- La Maison OLAZÁBAL d'Alzo, ruinée par des litiges et procès qui ne concernent pas ce lieu, et le litigant Joan de OLAZÁBAL y Ulía, ayant épousé une dame du nom de Portocarrero, eurent un fils nommé Esteban, qui s'établit à Irún et se maria.
Il fonda une nouvelle maison connue jusqu'à nos jours sous le nom d'OLAZÁBAL Artalecu, étant construite sur le domaine d'Artalecu et son humilladero (chapelle) du même nom à Irún-Uranzu.
✶ Armes (de la Maison d'Alzo et d'Irún-Uranzu) :
" D'or, un pin arraché de sinople, fruité d'or, traversé à son tronc par un sanglier de sable, passant, aux défenses et aux yeux d'argent. Devant le sanglier, un homme en cuirasse, portant un casque bleu et des chaussures de sable, donnant un coup de lance à la bête avec un javelot de gueules. De chaque côté du pin, une pomme de gueules, et une autre de la même couleur au-dessus de la cime. "
En tant que Pariente Mayor et chef d'armurerie, le cimier est un sanglier de sable avec des défenses et des yeux d'argent, posé sur des genêts de sinople.
_____________________________
OLAZÁBAL
Guipúzcoa
España
✶ Escudo de armas:
"De oro, un árbol de sinople, acompañado de un jabalí pasante de sable, brochante sobre el pie del tronco, todo sostenido de una terraza de sinople, con bordura de gules cargada de ocho bezantes de plata."
Fuentes heráldicas:
- Armorial général d’Europe, por J.B. Rietstap (Gouda, 1861).
- Armorial d'Europe, por J.B. Rietstap (Gouda, 1884, Berlín, 1934) (Gouda, 1887, Berlín 1937).
- Armorial général J.B. Rietstap, ilustrado por Victor y Henri Rolland (1903-1926). Colorizado por Lionel Sandoz (1993-2002).
- Diccionario heráldico y genealógico de apellidos españoles y americanos (86 vol.), por Alberto y Arturo García Carraffa, 1920-1963.
- Enciclopedia heráldica y genealógica hispano-americana (88 vol.); por Alberto García Carraffa y Arturo García Carraffa, 1919-1963.
- Repertorio de Blasones de la Comunidad Hispánica + Apéndice; del Instituto Salazar y Castro, Vicente de Cadenas y Vicent, Hidalguía, 1987.
- Diccionario onomástico y heráldico Vasco, J. de Querexeta, 1980.
✶ Historia, Orígenes y Blasones de la Familia OLAZÁBAL: Una Línea Noble de Guipúzcoa.
OLAZÁBAL — Línea de los Parientes Mayores de Guipúzcoa
La línea de los OLAZÁBAL es originaria de Alzo, en las tierras de Aia, donde era conocida con los nombres de «OLAZÁBAL», «OLAZÁBALEGI» y «OLAZÁBAL-TXIPI». Esta familia también se encuentra en otras localidades de Guipúzcoa, como Tolosa, Ezkioga, Azpeitia, Rentería, Zestoa, Irún, Aia, Aduna y Anzuola, así como en tres casas en Axpe (Atxondo) y una en Markina (en Vizcaya).
Una rama de la familia emigró a América, mientras que otra, originaria de Axpe (bautizada en Abadiño, en Vizcaya, en 1732), se estableció en Ozkabarte o en Santo Domingo de la Calzada (La Rioja). El monasterio de San Salvador de OLAZÁBAL, situado en las tierras de Aia (Guipúzcoa), ya se menciona en el año 1025.
El nombre OLAZÁBAL podría derivarse de la expresión "Ferrería ancha" («gran fragua») o "cabaña ancha" («gran cabaña»), asociando los términos "ola" (fragua o cabaña) y "zabal" (ancho). Luis Michelena también sugiere que podría significar «llanura de avena», asociando "olo" (avena) y "zabal" (llanura).
✶ La familia OLAZÁBAL se menciona en diferentes épocas:
En Azkoitia en 1631.
En Fuenterrabía en 1773.
En Tolosa en 1676 y 1818.
En Zumaia en 1588.
En Oñate en 1578.
En Irún (con dos casas en 1772 y 1839).
En Elorrio en 1680.
En Bilbao en 1826 (con referencias a un reconocimiento de nobleza solicitado por el padre de un miembro en Beizama en 1775).
En Valladolid en 1569, 1651 y 1814, especialmente por la admisión en la Real Compañía de Guardias Marinas en 1776 y 1777.
Los OLAZÁBAL también aportaron caballeros a la Orden de Santiago (1624, 1788 y 1839), a la Orden de Alcántara (1679) y a la Orden de Carlos III (1786, 1818 y 1832). Félix OLAZÁBAL es mencionado como uno de los libertadores de las Repúblicas sudamericanas. La familia estaba presente en Azpeitia desde 1319 y 1349, en Legazpia en 1407, en Ezkioga en 1411, en Tolosa en 1456, en Gabiria en 1462 y en Donostia-San Sebastián en 1566. También se reporta su participación en la batalla de Las Navas de Tolosa en 1212.
✶ Escudos de armas de la familia OLAZÁBAL
Las armas primitivas (certificadas en 1650):
"De azur, una cadena de oro colocada en banda, acompañada de dos veneras de oro, una a cada lado."
La casa de Aia:
"De oro, un roble de sinople, un jabalí de sable pasando al pie del tronco, y una bordura de gules cargada con ocho bezantes de plata."
La casa de Alzo:
"De oro, un roble de sinople, frutado de oro y terrasado de sinople, acompañado de un jabalí de sable corriendo por un lado y, por el otro, de un cazador que sostiene una horca, listo para enfrentarse al jabalí que carga. En el jefe, dos manzanas de gules. Algunos sustituyen el roble por un pino arrancado, mostrando sus raíces."
✶ Otras ramas y escudos de armas
Casa de Irún (según una certificación de 1642):
"De oro, un roble de sinople, frutado de oro, atravesado por un jabalí de sable pasante, con defensas y ojos de plata."
"Delante del jabalí, un hombre con coraza, casco azul y zapatos de sable, lanza un golpe a la bestia con un venablo de gules. Dos manzanas de gules adornan los lados de la copa del roble, con una tercera en la cima."
Otros escudos de armas de Irún (certificados en 1671):
"De oro, un roble de sinople, un jabalí de sable al pie del tronco, y tres manzanas de gules alrededor de la copa: una en el jefe y dos a los lados."
La casa llamada "Garaizabalerdikoa" en el barrio de Gazeta, en Elorrio:
Está asociada con una cadena en banda, acompañada de cuatro veneras (dos arriba y dos abajo) dispuestas en faja. La bordura está decorada con una cadena continua.
✶ La casa de Modet (plaza de Kurutziaga):
"Un árbol arrancado y terrasado, un jabalí pasante al pie del tronco, un caballero en armadura con casco y penacho, sosteniendo una espada en una mano y agarrando el colmillo del jabalí con la otra. Una estrella de seis rayos aparece bajo la copa del lado izquierdo. La bordura está cargada con ocho cruces de San Andrés. El escudo se complementa con una Cruz de Santiago adosada y una gran venera al pie del escudo."
✶ Otras ramas de los OLAZÁBAL también poseen escudos distintos, como "de gules, un chevrón bajado de oro, acompañado de tres bezantes de plata en el jefe."
✶ OLAZÁBAL (de la Casa de Alzo e Irún-Uranzu):
Línea de los Parientes Mayores de Guipúzcoa (grandes linajes nobles o aristocráticos vascos de Guipúzcoa) que dio su nombre al lugar de Alzo de OLAZÁBAL, ubicado en las tierras de Aia y en el distrito de Tolosa, de donde son originarios.
Poseían el patronazgo del monasterio de San Salvador de Alzo.
Este monasterio fue donado en el año 1025 por García Aznarez y su esposa, la dama Gaila, al monasterio de San Juan de la Peña.
En 1445, la confirmación de la concesión apostólica del patronazgo de San Salvador de OLAZÁBAL fue otorgada a Fernando de OLAZÁBAL, Señor de OLAZÁBAL.
Lo anterior se confirma por la información de nobleza realizada por Joan Ochoa de OLAZÁBAL Arteaga en la villa de Tolosa, el 16 de noviembre de 1595. Esta información concluye diciendo:
« … Los habitantes (consideraban) que no tenían ningún derecho sobre dicho patronazgo y que su litigio era injusto e infundado, y que, en consecuencia, cargarían sus conciencias, tanto en general como en particular. Por lo tanto, queriendo apaciguar sus conciencias, reconocían a dicho OLAZÁBAL como el único y verdadero Patrono de dicho monasterio.»
La Casa OLAZÁBAL de Alzo, arruinada por litigios y pleitos no relacionados con este lugar, tuvo como litigante a Joan de OLAZÁBAL y Ulía, quien contrajo matrimonio con una dama de apellido Portocarrero. Tuvieron un hijo llamado Esteban, quien se estableció en Irún y contrajo matrimonio.
Fundó una nueva casa conocida hasta la fecha como OLAZÁBAL Artalecu, construida sobre el dominio de Artalecu y su humilladero (capilla) del mismo nombre en Irún-Uranzu.
✶ Armas (de la Casa de Alzo e Irún-Uranzu):
"De oro, un pino arrancado de sinople, frutado de oro, atravesado en su tronco por un jabalí de sable, pasante, con defensas y ojos de plata. Delante del jabalí, un hombre con coraza, casco azul y zapatos de sable, asestando un golpe a la bestia con un venablo de gules. A cada lado del pino, una manzana de gules, y otra de la misma color sobre la copa."
Como Pariente Mayor y jefe de armería, el timbre es un jabalí de sable con defensas y ojos de plata, posado sobre unas retamas de sinople.
_____________________________
PARTAGEZ SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX
LES AVIS
Il n'y a aucune note pour le moment. Soyez le premier à évaluer !
DONNEZ UNE NOTE