DESCRIPTION
RENARDY
Principauté de Liège
Belgique
Notes historiques et biographiques:
- Registre aux redemptions du temps de la magistrature des seigneurs bourgmestres RENARDY et STEMBIER de l'an 1679 à 1680, finissant en l'an 1745.
- François RENARDY, de l'université de Pont-à-Mousson, fut reçu avocat au parlement de Metz, le 25 juin 1685.
- Augustin RENARDY, O.S.B. dernier abbé de Saint-Jacques de Liège en 1785.
- Jacques-Apsalon Renardy, Bourg Namur, 1753.
- Marguerite Renardy, née vers 1698, fille peut être de François Renardy, épousa Jean-François Ruzier, conseiller au bailliage de Metz. (Biographie du Parlement de Metz, par Emmanuel Michel, 1853).
- Henri Joseph Nicolas RENARDY, 1801-1840, peintre. (Académie Royale des Sciences, des Lettres et des Beaux-Arts de Belgique: Biographie nationale. - Bruxelles: Thiry, 1866-1938. - Tomes 1-27.)
- Ossy RENARDY, violoniste, 1935. (Who's who today in the musical world: a biographical and pictorial record of musicians of to-day. Compiled in 1936-7. - New York: Birdsall, [1938].)
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RENARDI
Principauté de Liège
Belgique
Armoiries :
" Parti: au 1, d'azur, à huit têtes et cols d'aigle d'or, réunies 2 et 2, en forme de croix ancrée, chargé en coeur d'un écusson d'argent surchargé d'une fleur-de-lis de gueules; au 2, d'or, au sautoir de gueules. "
Sources :
- Armorial général d’Europe, par J.B. Rietstap (Gouda, 1861).
- Armorial d'Europe par J.B. Rietstap (Gouda, 1884, Berlin, 1934) (Gouda, 1887, Berlin 1937).
- Armorial général J.B. Rietstap, illustré par Victor et Henri Rolland (1903-1926). Colorisé par Lionel Sandoz (1993-2002).
Etymologie :
Renard. 1598 « les héritiers de Andrieu Renaert >> ,
- Thery Renaert, patronyme dérivé de "Wavre" ; forme néerlandaise de Renard ... Renardy, 1699.
- Jacques-Apsalon Renardy, Bourg Namur, 1753.
Sources : Dictionnaire des noms de famille en Wallonie et à Bruxelles, par Jean Germain, Jules Herbillon, 2007.
Notes historiques et biographiques :
Renard, "domini Renardi" en latin, seigneur, comte de Toul et Pierre, comte d'Astenois, "domini Renardi" ( étaient fils de Frédéric II, comte de Toul, petit-fils de Frédéric Ie , à qui l'évêque Udon avait donné , en 1059 , le comté de
Toul , après en avoir dépossédé Artaud qui le tenait de puis 1056. Frédéric Ier avait épousé Gertrude, fille de Renard, troisième du nom , prédécesseur d'Arnould dans le comté de
Toul, et en avait eu un second fils, Henri, qui fut évêque de Liège.
Si nous remarquons que les plus anciens comtes de Toul portaient le nom de Renard et que leur titre n'était enréalité qu'une fonction, tandis que le comté d'Astenois était un fief,
nous serons autorisés à penser que le plus ancien comted'Astenois, auquel la vouerie de Toul fut confiée, peut être Renard Ier (Renardi I.), cité dans un acte de 1033 ?.
Sources : Revue d'histoire nobiliaire et d'archéologie héraldique, N°1, 1882.
RENARDI bourgmestre de Liège, émissaire du Roi de France Louis XIV mort martyr à la cause populaire éxécuté en 1684.
- Renardi et Giloton, ennemis déclarés de Maximilien, ayant été élus bourgmestres selon la forme du réglement de l'an 1603, le prince les proscrivit comme perturbateurs du repos public. Ils s'adressèrent à Louis XIV, pour en obtenir du secours; ce monarque leur écrivit que de la Raudière, son ministre àLiége, leur ferait connaître ses intentions celui-ci leur dit que son
maître souhaitait qu'ils se soumissent à leur évêque.
Le cardinal de Bouillon, grand prévôt de Liége, au quel ils avaient également écrit , leur fit les mêmes instances.
Macors, Renardi, Giloton et les autres chefs de la faction, sentant qu'il était urgent et de toute nécessité de se rapprocher enfin de Maximilien, dont le premier ministre, Guillaume Egon de Furstemberg,évêque de Strasbourg, s'était rendu près de Maestricht avec un corps de troupes qui pût le mettre à l'abri de toute sur prise, ils lui écrivirent ainsi qu'à Maximilien. ...
Sources : Biographie liégeoise, ou Précis historique et chronologique ..., vol.2, par comte Antoine Gabriel de Becdelievre, 1837.
Biographie des liégeois illustres: recueillie dans divers auteurs anciens et modernes, par Camille Pavard, 1905.
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