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MAUREL

MAUREL_Provence_France (2)

MAUREL

19.90TTC

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DESCRIPTION

MAUREL
Provence
France

- Les Maurel ont été Sgr. de Volonne et du Chaffaut, Valbonnette, Malmoisson, Châteauneuf, Rognette, Maubousquet.; Cachet de 1737.
- Jean, receveur des tailles à Saint-Pons (1696).
- De Mons, de Pontevès, de Villeneuve.

Armoiries:
" D'or, à un cheval cabré de sable, au chef d'azur, chargé de trois étoiles du champ. "
alias:
" Un cheval, un chef à trois étoiles. "
alias:
" D'or, à un cheval de sable, sur une terrasse de sinople - (II-802). "
alias:
" D'or, au cheval cabré de sable (moreau), au chef d'azur chargé de trois molettes (alias étoiles) du champ. "
- Couronne de marquis. Cimier: une tête de cheval.
- Supports: deux licornes.
- Devise: DUCTUS ET VECTUS.

Sources héraldiques:
- Armorial généalogique & biographique des évêques de Viviers, par l'abbé Auguste Roche, 1894.
- Armorial d'Europe par J.B.Rietstap (Gouda, 1884, Berlin, 1934) (Gouda, 1887, Berlin 1937).
- Armorial général J.B. Rietstap illustré par Victor et Henri Rolland (1903-1926). Colorisé par Lionel Sandoz (1993-2002).
- Familles nobles en Europe. Complément de l'Armorial d'Europe de J.B. Rietstap par Rolland (La Haye, 1904, 1954).
- Armorial des Evêques de France.
- Le Grand Armorial de France, par Jougla de Morénas 1935-1943, de Warren, Frantzen 1960.
- Nobiliaire de Provence, armorial général de la Provence, du Comtat Venaissain, de la Principauté d'Orange, par René Borricand, 1974.
- Armorial Général de Ch. d'Hozier, élection de Montpellier, ouvrage de L. d'Izarny-Gargas publié en 1989.

Note:
En, 1414, Jean de Linières reçut l'hommage de Jean Maurel pour la seigneurie de Ribes.
La famille Maurel ou Morel appartenait à l'ancienne noblesse de Provence.
Elle descendait d'un Pierre Morel, médecin de Charles III d'Anjou, dernier comte de Provence de sa race ; ce prince légua à Morel ses livres de médecine, par son testament du 10 décembre 1481, veille de sa mort.
Les descendants de Morel, ayant acquis des biens considérables dans le commerce et ayant fait de très bonnes alliances, s'étaient divisés, vers le milieu du XVIIe siècle en plusieurs branches, toutes éteintes depuis, dont les principales avaient possédé huit ou dix terres nobles, telles que Pontevès, le Chaffaud, Mons, etc.
Ces diverses branches ont fourni un grand nombre de magistrats aux cours souveraines du pays, et celle qui était particulièrement connue sous le nom de Morel-Villeneufve de Mons donna le
jour à trois évèques distingués par leur mérite et leur piété.



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