KADAUW
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DESCRIPTION
KADAUW
Danzig, Basel.
Deutschland, Schweiz.
HofpfalzgTaf Virus Mangold verleiht Gabriel Kadauw ein Wappen. I. November 1713.
Gabriel Kadauw stammte aus Danzig und hielt sich als Goldschmiedgeselle von 17.12 bis nach 1717 bei Johann Ulrich Fechter n Basel auf, obwohl er längst Meister war.
Da ihm Fechter einen bei St. Leonhard gelegenen einsamen Garten für nahezu 4000 Pfund gekauft hatte, wo er sich ein eigenes Hauswesen eingerichtet hatte, und allein mit einem oberländischen Jungen in einer eigenen Schmiede arbeitete, wurden 1717 gegen Kadauw und Fechter Klagen wegen Falschmünzerei erhoben, deren Nichtigkeit die behördliche Untersuchung jedoch bald erwies.
In seiner Verteidigungsschrift hob Fechter hervor, dass Kadauw "an grosser Herren Höffen in aller Ehr und Ansehen leben könnte", dass die hochgelehrtesten und weitberühmtesten Männer denselben estimieren.
" Kadauw muss tatsächlich seinerzeit eine gewisse Berühmt-heit genossen haben, denn am 1. November 1713 wurde ihm vom Basler Hofpfalzgrafen Petrus Mangold ein Wappenbrief ausgestellt, in dem seine Kunstfertigkeit hervorgehoben wurde.
Die Wappenbeschreibung in demselben lautet :
" ... mit nahmen, ein halb-absteigenile Silberfarbe, mit einer blauen Lilie belegte Spitze, im Blauwen Schikit.
Unden im Schildt, Ein auss drey Thürnen bestechende Silberfarbe Burg, auf welcher jedem rechts und links Stechenden Thum erscheint ein Eule natürlicher Färb.
Auf dem Schildt ein zugethaner zur rechten gewandter Stechhelm, so beyderseitz mit einer weiss und blauwen Helmdeken gezieret, mit seinem anhangenden Kleynodt, welches sein soll das Bruststück eines Jünglings in Blauw em Pohlnischem Habit, so vornen auf der Brust mit einer halbabsteigenden Silbernen, Von Blauwen Lilie belegten Spitzen, wie ihm Schildt zu orsechen, geziert und an Statt der Armen mit Blauwen Fluglen versechen ist."
Gabriel Kadauw verdankte diesen Wappenbrief und eine damals erhaltene goldene Medaille einer 1713 verfertigten silbergetriebenen Darstellung der Auferstehung Christi, von der eine Nachzeichnung in der Öffentlichen Kunstsammlung zu Basel (Hdz. Mappe Bi. 259, Hier. Hess Nr. 38) sich erhalten hat.
Quellen: Schweiz. Künstler-Lexikon (Supplement) Nr. 251. Basler adels und wappenbriefe. (Staehelin, 1916).
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KADAUW
Gdansk, Bâle.
Allemagne, Suisse.
HofpfalzgTaf Virus Mangold donne à Gabriel Kadauw un blason. 1er novembre 1713.
Gabriel Kadauw est venu de Dantzig et a travaillé comme compagnon orfèvre chez Johann Ulrich Fechter à Bâle du 17 décembre jusqu'après 1717, bien qu'il ait longtemps été un maître artisan.
Depuis que Fechter lui avait acheté un jardin isolé près de St. Leonhard pour près de 4000 livres, où il avait installé sa propre maison et travaillé seul avec un garçon de l'Oberland dans sa propre forge, des plaintes ont été portées contre Kadauw et Fechter en 1717 pour contrefaçon, la nullité de l'enquête officielle, cependant, fut bientôt prouvée.
Pour sa défense, Fechter a souligné que Kadauw "pourrait vivre en tout honneur et prestige à la cour d'un grand homme", que les hommes les plus savants et les plus célèbres l'estiment.
" Kadauw devait jouir à l'époque d'une certaine notoriété, car le 1er novembre 1713, Petrus Mangold, comte palatin de la cour de Bâle, lui publia une lettre d'armoiries dans laquelle son savoir-faire était mis en valeur.
La description des armoiries dans le même se lit comme suit :
"... à pris, une couleur argent semi-descendante, dentelle recouverte d'un lys bleu, en trousse de ski bleu.
Et dans le bouclier, un château argenté, composé de trois tours, sur lesquelles chaque tour perçante droite et gauche apparaît un hibou de couleur naturelle.
Sur le bouclier, un casque ajusté, tourné vers la droite, orné des deux côtés d'un couvre-casque blanc et bleu, avec son Kleynodt attaché, qui serait le morceau de poitrine d'un jeune en habit Blauw em Pohlnisches, donc dans devant sur la poitrine avec un argent à moitié descendant, des pointes couvertes de lys de von Blauwen, comme c'est son signe, orné et doté d'ailes bleues au lieu d'armes.
Gabriel Kadauw doit cette lettre d'armoiries et une médaille d'or conservées à l'époque à une représentation en argent de la résurrection du Christ réalisée en 1713, dont une copie est conservée à la Collection d'art public de Bâle (Hdz. Mappe Bi. 259, Hier. Hess n° 38).
Sources : Suisse. Lexique des artistes (supplément) n° 251. Noblesse bâloise et lettres d'armoiries. (Staehelin, 1916).
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