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RESSÉGUIER

RESSEGUIER_Languedoc Rouergue. Wien._France, Österreich ()

RESSÉGUIER

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DESCRIPTION

RESSÉGUIER
Languedoc, Rouergue, Wien.
France, Österreich.

Armoiries :
D'or, à un pin de sinople, terrassé du même, au chef d'azur, chargé de trois quintefeuilles d'argent ou, au chef de gueules, chargé de trois quintefeuilles d'argent.
Alias :
" Au chef d'argent chargé de trois quintefeuilles de gueules "
(Les émaux du chef varient selon les branches).
Supports: deux lions d'or.

* Ces armes sont aux descendants de cette famille qui appartiennent encore de nos jours à la noblesse subsistante.
Elles sont donc protégées par le nom de famille.
Toute utilisation non autorisée des images (sauf preuve de propriété) est interdite.


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La famille de Rességuier est une famille de la noblesse française subsistante, originaire du département de l'Aveyron.

Connue à Rodez dès le XIVe siècle cette famille s'est divisée en deux branches sous l'Ancien Régime.

L'une est restée en Rouergue, une autre s'est installée à Toulouse et a donné à cette ville une lignée de parlementaires.

Elle compte parmi ses membres des consuls de Rodez, un trésorier des domaines dans cette même ville, des conseillers au sénéchal du Rouergue, un capitoul de Toulouse, des conseillers et présidents au parlement de Toulouse, un maire de Toulouse, un poète, un homme politique, des officiers, etc.

Le patronyme Rességuier signifie "scieur" ou encore "scieur de long".

Hippolyte de Barrau, historien du Rouergue, écrit : « La famille de Rességuier, originaire de la ville de Rodez en Aveyron, est au nombre de celles qui s'illustrèrent par leur courage et leur patriotisme au temps de l'invasion anglaise. En 1372, dit l'auteur des annales du Rouergue, le duc d'Anjou, frère du roi Charles V, donna la terre de Gradels partie à Guillaume de Laparra et partie à Bernard de Rességuier, pour les récompenser de leurs services contre les Anglais.
Bosc raconte que lorsque le comte Jean II d'Armagnac fit sa première entrée à Rodez, le 9 mars 1380, parmi les consuls de la cité qui allèrent à son devant se trouvait noble Antoine de Rességuier (Il était consul de la Cité en 1392, et Guillaume en 1425).
À l'entrée du roi François Ier à Rodez le 25 juillet 1533, à la place de « la Leigna (de Cité) sur un tabernacle, y avia una bella demoisella, fille de mons de Rességuier, moulher dé mons de La Boissiera, ambé douzé petits enfans, tous accoutrats dé dams et d'autrès bels habillamens, laquella présenté lé don al rey, qu'éra très claux d'or, et una coupa d'argen brumat d'or. » ».

La famille de Rességuier s'est divisée en deux principales branches et divers rameaux :

Branche restée en Rouergue.
Branche établie à Toulouse, en Languedoc.


Henri Jougla de Morenas écrit que la famille de Rességuier a été maintenue noble en 1667, mais aussi en 1669 sur preuves de 1481 pour une branche éteinte au xviiie siècle.
Il écrit également qu'une autre branche éteinte à la fin du XIXe siècle avait fait ses preuves de noblesse pour l'admission aux écoles militaires en 1766 et à la maison royale de Saint-Louis à Saint-Cyr en 1764.
Qu'un membre de cette famille, François de Rességuier, a dérogé en faisant du commerce et que son fils a obtenu des lettres de relief en 1764.

Pierre Hocquellet écrit : "Antoine de Rességuier, co-seigneur de Gradels et de La Bonnefoussie, bourgeois et consul de la cité de Rodez en 1524 et 1532".

La famille de Rességuier a bénéficié d'un anoblissement graduel au XVIIe siècle par la charge de conseiller au parlement de Toulouse.

Coseigneurs de Gradels, seigneurs de La Bonnefoussie près Salmiech, acquis en 1465 de noble Jean Barthélémi Bonnefous, par Raymond et Arnaud de Rességuier frères, seigneurs de Villecomtal
Outre la terre de Gradels et autres fiefs, la famille de Rességuier a possédé plusieurs maisons à Rodez
Hôtel à Toulouse
Château de Juillac dans le département du Gers.

La famille de Rességuier à Toulouse
Cette branche de la famille de Rességuier compte parmi ses membres de nombreux parlementaires à Toulouse entre les dernières années du XVIe siècle et la Révolution française.
Cette branche appartenait à la haute noblesse de robe provinciale.

Filiation des principaux parlementaires de la famille de Rességuier :

Guillaume de Rességuier, conseiller (1592) puis président aux enquêtes (1608) au parlement de Toulouse.
Pierre de Rességuier, conseiller (1618) au parlement de Toulouse.
François de Rességuier, conseiller (1645) puis président aux enquêtes (1674) au parlement de Toulouse.
Jean de Rességuier, conseiller (1674) puis président aux enquêtes (1695) au parlement de Toulouse.
Jean de Rességuier, conseiller (1704), membre de l'académie des Jeux floraux (1709), président en la deuxième chambre des enquêtes (1730) au parlement de Toulouse.
François Marie Louis de Rességuier, conseiller (1737) puis président au parlement de Toulouse.
Louis-Emmanuel-Élisabeth de Rességuier, avocat général (1779) puis procureur général (1788) au parlement de Toulouse et en cette qualité membre de l'assemblée des notables la même année.
Autres personnalités de la famille de Rességuier à Toulouse :

François-Bruno de Rességuier, conseiller-clerc (1748) au parlement de Toulouse.
Athanase-Marie-Emmanuel-Adrien de Rességuier (fils de Louis-Emmanuel-Élisabeth de Rességuier), maire de Toulouse en 1829.
Jules de Rességuier (1788-1862), poète.
À la fin duXVIIe siècle la famille de Rességuier acquiert un hôtel particulier sis 3, rue du lieutenant-colonel Pelissier 31000 Toulouse. Cet hôtel connu plusieurs propriétaires : Duranti, de Caulet, de Rességuier.

Deux membres de cette branche furent reçus dans l'ordre de Malte.

(Wikipédia)



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