DESCRIPTION
TODARO
Barone della Galia
Sicilia
Italia
Famiglia oriunda spagnuola, in Sicilia venuta nel 1668 per un Benedetto Todaro y Osorio cavaliere di san Giacomo della Spada, maestro procuratore razionale e barone della Galia per concessione di re Carlo II 1673.
I Torado originari di Monte San Giuliano,hanno posseduto le baronie di Foresta e Galia.
- Notiamo di essa un Felice presidente della Gran Corte civile di Palermo.
Il ramo primogenito di questa famiglia trovasi in Trapani, ed è rappresentato dal barone di Galia Benedetto Torado e Pepoli.
- Vincenzo Vescovo di Cefalù nel 1819.
Stemma di famiglia:
" D'azzurro, all'aquila d'oro, coronata dello stesso, tenete nel rosto un ramoscello d'ulivo al naturale, accompagnato nel capo da tre stelle d'oro. "
Fonte dei documenti :
- Dizionario storico-blasonico delle famiglie nobili e notabili italiane, estinte e fiorenti... Giovanni Battista di Crollalanza, 1819-1892.
- Il blasone in Sicilia : Ossia, Raccolta araldica, per Palizzolo Gravina, 1871-1875.
- - Armorial d'Europe par J.B.Rietstap (Gouda, 1884, Berlin, 1934) (Gouda, 1887, Berlin 1937).
- Armorial général J.B. Rietstap illustré par Victor et Henri Rolland (1903-1926). Colorisé par Lionel Sandoz (1993-2002).
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TORADO
Sicile
Italie
Famille originaire d'Espagne, venue s'établir en Sicile en 1668.
- Benedetto Todaro y Osorio de San Giacomo della Spada, Chavalier, Procureur, élevé au titre de baron de Galia par concession du roi Charles II en 1673.
- Les Torado originaires de Monte San Giuliano appartenaient aux baronnies de Foresta et de Galia.
- Nous citons un Felice, Président de la grande cour civile de Palerme.
- La branche ancienne de cette famille se trouve à Trapani et est représentée par le baron de Galia Benedetto Torado et Pepoli.
On cite aussi :
- Vincenzo évêque de Cefalù en 1819.
Armoiries:
" D'azur, à l'aigle couronnée, tenant en son bec un rameau d'olivier et accompagné de trois étoiles, rangées en chef, le tout d'or. "
Sources:
- Dizionario storico-blasonico delle famiglie nobili e notabili italiane, estinte e fiorenti... Giovanni Battista di Crollalanza, 1819-1892.
- Il blasone in Sicilia : Ossia, Raccolta araldica, per Palizzolo Gravina, 1871-1875.
- - Armorial d'Europe par J.B.Rietstap (Gouda, 1884, Berlin, 1934) (Gouda, 1887, Berlin 1937).
- Armorial général J.B. Rietstap illustré par Victor et Henri Rolland (1903-1926). Colorisé par Lionel Sandoz (1993-2002).
Généralités:
TODARO ! Que dire sur TODARO ?
« Au temps qui détruit tout, l'homme répond par l'image »
TODARO est un nom qui s’accompagne d’un blason.
Origine du blason " TODARO " : " Sicilia. Barone della Gallia 1673., Italia (i) "
Sont-ils tous descendants d’un ancêtre commun qui s’appelait TODARO.
L’origine du nom de famille TODARO n’est pas une personnification du hasard.
A la vérité, les TODARO ont, eux aussi, écrit l’histoire, à l’ombre de grands personnages.
Et, les armoiries TODARO ne suffisent pas à expliquer les raisons de votre curiosité.
Toutes images « TODARO », dans l’écoulement du temps, symbolisent la permanence des TODARO dans l’Histoire.
Le sceau des TODARO scelle ainsi, la charte de la position « mortel immortel » de cette famille ?...
Héraldique TODARO.
Un désastreux préjugé hérité de la Révolution, laissa penser que les armoiries étaient l’apanage de la noblesse.
Les nobles ne furent pas les seuls à posséder leurs blasons.
Les Etats, les villes, les provinces, les corporations, les ecclésiastiques, les laïques, les roturiers, etc. eurent leurs armoiries.
De nos jours, toute personne qui le désire, peut porter et arborer un blason.
Trop souvent, l’héraldique est considérée comme une discipline dominée des prétentions nobiliaires.
En fait, le blason permet d’identifier une famille, une personne.
Donner un « état civil » à de nombreux objets : œuvre d’art, antiquités,vaisselles, livres, etc., tout en les datant.
TODARO « Droit d’images ».
Chacun peut découvrir que son nom a laissé un « droit d’images » qui nous vient de l’Antiquité.
On nommait ainsi, en droit romain, le privilège par les patriciens seuls d’exposer,
sous l’atrium de leur maison, leur propre image et celles de leurs ancêtres.
Dans certains cas, on brisait les images de ses ancêtres et on les jetait à terre pour les fouler aux pieds.
C’est ce que l’on fit plus tard avec tous les blasons et armoiries de France pendant la Révolution de 1789.
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