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VOLLANT (Bayern)

VOLLANT_Bayern_Deutschland (1)

VOLLANT (BAYERN)

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DESCRIPTION

⚜️ VOLLANT oder FOLLANT
Bayern
Deutschland

⚜️ Wappen :
„In Silber ein schwarzes steigendes Pferd, auf einem Dreiberg in natürlichen Farben stehend.“
- Helmzier: das wachsende Pferd.


✶ Familie VOLLANT (Bayern, Deutschland)

⚜️ Ursprung und Etymologie
Der Familienname VOLLANT (oder FOLLANT, im mittelalterlichen Latein manchmal als VOLLANTUS oder FOLLANTUS überliefert) hat seine Wurzeln in Süddeutschland, vor allem in Bayern und Nürnberg.
Der Name erinnert in seiner romanischen Bedeutung (lat. volare = „fliegen“) an Bewegung, Schnelligkeit oder Erhebung.
In der germanischen Tradition könnte er auch mit einem Beruf oder einem Übernamen in Verbindung stehen, der Energie, Lebhaftigkeit oder sogar das Textilhandwerk betrifft, da die ursprünglichen Wappen auf den Walkhammer (Werkzeug des Walkers, im Zusammenhang mit der Tuchbearbeitung) verweisen.

⚜️ Historische Eckdaten
- 1402: Ulrich VOLLANT (oder Follant) erhielt den Sitz eines Reichslehens, den er bald an Konrad Kress, einen reichen Patrizier von Nürnberg, abtrat.
- 1408: König Ruprecht (Ruprecht III., römisch-deutscher König) bestätigte den Brüdern Ulrich und Sebald Follant, Bürgern von Nürnberg, das Recht auf ein Wappen: „Ein schwarzer Walker in silbernem Feld und ein schwarzer Walker über dem Helm, mit einer Krone besetzt.“
- 1429: Tod des Ulrich VOLLANT, bezeichnet als reicher Bürger Nürnbergs.
- 1466: Kaiser Friedrich III. überließ Hans VOLLANT verschiedene Dörfer (Wendelstein, Neureut, Dürrenhembach, Kessersreut, Heberstorf und Wetzelstorf), die dem Reichsgut angehörten, mit der Verpflichtung, jährlich die Hälfte zurückzugeben.

⚜️ Wappenbuch von Wernigerode (Teil II): Erwähnung eines Wappens der Familie, dargestellt durch „einen steigenden Walker“ (seltene Figur, Hinweis auf die Verbindung zum Walken).
Diese Familie gehörte somit zur patrizischen Bürgerschaft Nürnbergs, tätig im Handel, im Luxusgewerbe und im Dienst des Reiches.

⚜️ Wappen
Hauptwappen (Bayern)
„In Silber ein schwarzes steigendes Pferd, auf einem Dreiberg in natürlichen Farben stehend.“
- Helmzier: das wachsende Pferd.

⚜️ Ältere Variante (Nürnberg, 1408)
„In Silber ein schwarzer Walker.“
- Helmzier: der schwarze Walker, gekrönt.

⚜️ Ikonographie
Das steigende Pferd ist ein Symbol für Lebenskraft, Schwung, Adel und Freiheit.
In der deutschen Heraldik verweist es auch auf die großen sächsischen Familien und die Herzogtümer Westfalen und Niedersachsen.
- Der Dreiberg ist ein klassisches Motiv der deutschen Wappen, Symbol für territoriale Verwurzelung, Beständigkeit und biblisch für den Berg der theologischen Tugenden (Glaube, Hoffnung, Liebe).
Der Walker (Werkzeug) erinnert an ein für die mittelalterliche Stadtwirtschaft wesentliches Handwerk: die Tuchverarbeitung, Grundlage des Wohlstands der fränkischen Städte.

⚜️ Symbolik
Das schwarze Pferd auf silbernem Grund drückt den Kontrast zwischen Kraft (Schwarz) und Reinheit (Silber) aus, ein Gleichgewicht zwischen beherrschter Stärke und Rechtschaffenheit.
Als Helmzier wird das Pferd zum Symbol des Aufstiegs und des sozialen Aufschwungs, Sinnbild für Bürgerfamilien, die kaiserliche Ämter erlangten.
Der Walker erinnert an die handwerkliche und kaufmännische Tradition, Grundlage des Reichtums der Nürnberger Patrizier.

⚜️ Bemerkenswerte Persönlichkeiten
Ulrich V. VOLLANT (†1429), reicher Bürger Nürnbergs, Inhaber eines Reichslehens.
Sebald VOLLANT (oder Follant), erwähnt 1408 in den königlichen Briefen Ruprechts.
Hans VOLLANT, Begünstigter der Konzessionen Friedrichs III. (1466), Akteur bei der Verwaltung der Reichsdörfer.

⚜️ Ikonographien und Glasfenster
Obwohl direkte Belege selten sind, bewahren deutsche Wappenbücher (Wappenbücher) Darstellungen des Wappens VOLLANT, insbesondere:
das Wappenbuch von Wernigerode, Teil II (15. Jh.).
spätere Kopien in fränkischen Wappenbüchern des 16. Jahrhunderts.
Möglich ist, dass patrizische Familien VOLLANT/FOLLANT unter den Stiftern von Glasfenstern oder Chorgestühlen der Lorenzkirche oder der Sebalduskirche in Nürnberg waren, bedeutende Orte bürgerlichen Mäzenatentums.

⚜️ Denkmäler und Erinnerung
Die 1466 von Friedrich III. übertragenen Dörfer (Wendelstein, Dürrenhembach usw.) könnten in ihren Archiven oder Monumenten (Dorfkapellen, Grabsteine) heraldische Spuren der Familie VOLLANT bewahrt haben.
Die Präsenz in den Wappenbüchern des Heiligen Römischen Reiches zeugt von der offiziellen Anerkennung ihres sozialen Status.

⚜️ Bio-Bibliographie und Quellen
Armorial von Wernigerode, Teil II (Hs. 15. Jh.).
Stadtarchiv Nürnberg: Bürger- und Reichslehensregister (1400–1500).
Rietstap, Armorial général, Bd. II (Amsterdam, 1884): Querverweise zu VOLLANT/FOLLANT.
Jougla de Morénas, Grand armorial de France (zum Vergleich europäischer Varianten).
Siebmacher, Wappenbuch des gesammten Adels des Deutschen Reichs (Nürnberg, 1605 und Ausg. 19. Jh.), wo patrizische Linien oft erscheinen.
Das grosse und allgemeine Wappenbuch, Adel des Königreichs Bayern, Band II., von Johann Siebmacher, und, Otto Titan von Hefner, 1854

⚜️ Werke über die Nürnberger Patrizierfamilien:
Gustav Adelbert Seyler, Geschichte der Heraldik (Berlin, 1890).
Johann Christian Siebenkees, Historische Nachrichten von den vornehmsten Nürnberger Geschlechtern (18. Jh.).


⚜️⚜️⚜️⚜️⚜️⚜️⚜️⚜️⚜️⚜️⚜️⚜️⚜️⚜️⚜️⚜️⚜️⚜️⚜️⚜️⚜️⚜️⚜️⚜️⚜️


⚜️ VOLLANT ou FOLLANT
Bavière
Allemagne

⚜️ Armoiries :
" D'argent, à un cheval cabré de sable, soutenu d'un tertre de trois coupeaux au naturel. "
- Cimier: le cheval issant.


✶ Famille VOLLANT (Bavière, Allemagne)

⚜️ Origines et étymologie
Le patronyme VOLLANT (ou FOLLANT, parfois transcrit en latin médiéval VOLLANTUS ou FOLLANTUS) trouve ses racines en Allemagne méridionale, principalement en Bavière et à Nuremberg.
Le nom évoque, dans son acception romane (volare en latin : « voler »), une idée de mouvement, de vitesse ou d’élévation.
Il a pu être rapproché, dans la tradition germanique, d’un métier ou d’un surnom lié à l’énergie, à la vivacité, voire à l’artisanat textile, puisque les armoiries primitives font référence au foulon (outil du foulonnier, lié au travail des draps).

⚜️ Repères historiques
- 1402 : Ulrich VOLLANT (ou Follant) reçut le siège de Reichslehen (fief impérial), qu’il céda rapidement à Konrad Kress, riche patricien de Nuremberg.
- 1408 : Le roi Rupprecht (Ruprecht III, roi des Romains) confirma aux frères Ulrich et Sebald Follant, bourgeois de Nuremberg, le droit à des armes : « un foulon noir dans un champ d’argent, et un foulon noir au-dessus du heaume, sommé d’une couronne. »
- 1429 : Mort d’Ulrich VOLLANT, signalé comme riche bourgeois nurembergeois.
- 1466 : L’empereur Frédéric III céda à Hans VOLLANT divers villages (Wendelstein, Neureut, Dürrenhembach, Kessersreut, Heberstorf et Wetzelstorf), relevant du domaine impérial, avec obligation d’en rétrocéder la moitié annuellement.
- Livre d’armoiries de Wernigerode (partie II) : mention d’armes attribuées à la famille, représentées par "un foulon montant" (charge rare, témoin du lien au foulonnage).
Cette famille fit donc partie de la bourgeoisie patricienne de Nuremberg, engagée dans le commerce, l’artisanat de luxe et le service de l’Empire.

⚜️ Héraldique
Armes principales (Bavière)
« D’argent, à un cheval cabré de sable, soutenu d’un tertre de trois coupeaux au naturel. »
- Cimier : le cheval issant.

⚜️ Variante ancienne (Nuremberg, 1408)
« D’argent, à un foulon de sable. » ;
- Cimier, le foulon de sable, couronné.

⚜️ Iconographie
- Le cheval cabré est symbole de force vitale, d’élan, de noblesse et de liberté.
Dans l’héraldique allemande, il renvoie aussi aux grandes familles saxonnes et aux duchés de Westphalie et de Basse-Saxe.
- Le tertre de trois coupeaux est un motif classique des armoiries germaniques, symbolisant à la fois l’ancrage territorial, la stabilité et la référence biblique au mont des vertus théologales (Foi, Espérance, Charité).
- Le foulon (outil) rappelle un métier essentiel à l’économie médiévale des cités : le traitement des draps, base de la prospérité des villes franconiennes.

⚜️ Symbolique
- Le cheval noir sur champ d’argent exprime le contraste entre vigueur (sable) et pureté (argent), un équilibre entre puissance maîtrisée et droiture.
- Issant au cimier, le cheval devient symbole de dépassement et d’ascension sociale, image de familles bourgeoises ayant su accéder aux charges impériales.
- Le foulon évoque la tradition artisanale et marchande, racine de la fortune des patriciens de Nuremberg.

⚜️ Personnages remarquables
- Ulrich V. VOLLANT (†1429), bourgeois riche de Nuremberg, détenteur d’un siège de Reichslehen.
- Sebald VOLLANT (ou Follant), mentionné en 1408 dans les lettres royales de Rupprecht.
- Hans VOLLANT, bénéficiaire des concessions de Frédéric III (1466), acteur du contrôle des villages impériaux.

⚜️ Iconographies et vitraux
Bien que les preuves directes soient rares, les livres d’armoiries allemands (Wappenbücher) conservent des représentations du blason VOLLANT, notamment dans :
- le Wappenbuch de Wernigerode, partie II (XVe siècle).
- des copies tardives dans les armoriaux franconiens du XVIe siècle.
- Il est possible que des familles patriciennes VOLLANT/FOLLANT aient figuré parmi les donateurs de vitraux ou de stalles de l’église Saint-Laurent (Lorenzkirche) ou de l’église Saint-Sébald de Nuremberg, hauts lieux du mécénat bourgeois.

⚜️ Monuments et mémoire
Les villages concédés en 1466 par Frédéric III (Wendelstein, Dürrenhembach, etc.) peuvent avoir conservé dans leurs archives ou monuments (chapelles rurales, pierres tombales) des traces héraldiques de la famille VOLLANT.
La présence dans les armoriaux du Saint-Empire marque une reconnaissance officielle de leur statut social.

⚜️ Bio-bibliographie et sources
Armorial de Wernigerode, Partie II (ms. XVe siècle).
Stadtarchiv Nürnberg (archives municipales de Nuremberg) : registres de bourgeoisie et fiefs impériaux (1400-1500).
Rietstap, Armorial général, vol. II (Amsterdam, 1884) : références croisées sur les VOLLANT/FOLLANT.
Jougla de Morénas, Grand armorial de France (pour les comparaisons de variantes en Europe).
Siebmacher, Wappenbuch des gesammten Adels des Deutschen Reichs (Nuremberg, 1605 et éd. XIXe s.), où apparaissent souvent les lignées patriciennes.
Das grosse und allgemeine Wappenbuch, Adel des Königreichs Bayern, Band II., von Johann Siebmacher, und, Otto Titan von Hefner, 1854

⚜️ Ouvrages sur les familles patriciennes de Nuremberg :
Gustav Adelbert Seyler, Geschichte der Heraldik (Berlin, 1890).
Johann Christian Siebenkees, Historische Nachrichten von den vornehmsten Nürnberger Geschlechtern (XVIIIe s.).

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