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WALLISCH

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DESCRIPTION

WALLISCH
Milan, Vienne.
Italie, Autriche.

- Christoph Andreas Baron de WALLISCH von STREHLENBERG und LANGENTHALL, né en 1732 à Milan, Baron le 06 juillet 1771, avec prédicat "von Strehlenberg et Langenthall", décédé à Vienne (Autriche), le 2 janvier 1793.

Armoiries:
" Écartelé: aux 1 et 4, d'or, à l'aigle de sable, couronnée du champ; aux 2 et 3, de gueules, à deux guidons écartelés de sable et d'or, passés en sautoir, et deux chaînes d'or pendantes du bout de chaque hampe. Sur le tout d'argent à un homme, vêtu d'un habit de sinople, les basques bordées de sable, rebrassé du même, le rabat aussi de sable, coiffé d'un bonnet du même, sommé d'une plume d'autruche d'argent, l'homme posé sur une terrasse de sinople. "
- Trois casques couronnés.
- Cimiers: 1° un vol coupé, à dextre d'or sur sable, à senestre d'argent sur gueules.
- Lambrequin: d'or et de sable; 2° l'homme, issant.
- Lambrequin: d'argent et de sinople; 3° les guidons, chaque hampe munie d'une seule chaîne.
- Lambrequin: d'argent et de gueules.

Sources :
- Wappenbuch der Oesterreichischen Monarchie, von J.A. Tÿroff in Nürnberg, 1847.
- Armorial général d’Europe, par J.B. Rietstap (Gouda, 1861).
- Armorial d'Europe par J.B. Rietstap (Gouda, 1884, Berlin, 1934) (Gouda, 1887, Berlin 1937).
- Armorial général J.B. Rietstap, illustré par Victor et Henri Rolland (1903-1926). Colorisé par Lionel Sandoz (1993-2002).

Note historique et biographique :

Le 10 février 1790, le Feldmarschall-lieutenant Christof Freiherr von Wallisch ¹ ) reçut la propriété de notre régiment 2) . Après sa mort à Vienne le 2 janvier 1793, il est remplacé par le général de cavalerie Karl Eugen, prince de Lorraine¹, prince de Lambest, comte de Brienne, le 22 juin 1794.

1 ) Christof Freiherr c. Wallisch est né à Milan en 1732.
Il s'engagea dans l'armée après la paix d'Aix-la-Chapelle et se distingua sous le général de cavalerie du comte Althann par sa vigilance, par des rapports importants et fiables et une activité inlassable qu'il fut nommé capitaine en 1759 par le Cornet aux Szluinern et promu à plusieurs reprises par Landon le ordres les plus importants et les plus secrets.
Pendant plusieurs mois en 1759, Wallisch occupa un poste important dans le cordon tracé dans la région de Platen et, grâce à des patrouilles inlassables, donna au corps qui se tenait derrière lui une paix et une sécurité complètes.
Par un heureux coup d'État, il a pris les 20 000 florins de contribution et de fonds d'exécution de la couverture prussienne collectés auprès du collecteur de Schwarzenberg et s'est également distingué dans l'abolition du partisan prussien Froideville par le général Kleefeld et à Ditmannsdorf.
En juin 1761, avec quatre cents Croates et trois cents cavaliers, il regarde le roi se replier sur Neisse et, grâce à des informations détaillées, permet à Laudon de contrecarrer toutes les intentions ennemies.
Lorsque le roi se retira à Oppersdorf peu de temps après, Wallisch occupa le poste important de Zuckmantel, alarma les Prussiens jour et nuit, échappa à l'abolition prévue en se retirant à temps dans son bataillon de soutien et chassa plus tard les Prussiens de Zuckmantel à nouveau.
Capturé sur un pari allemand, il est bientôt saccagé.
Le 8 janvier 1762 près de Neisse, il attaque vigoureusement le commandant de la forteresse, Legrand, qui s'y est déplacé avec deux bataillons, cinq escadrons de hussards et quatre canons aux portes de la forteresse. Pour ses excellents services reçus par Wallisch au IX. Promotion du 21 novembre 1763 la croix de chevalier de l'ordre de Marie-Thérèse.
Dans la guerre de succession bavaroise, il commanda le cordon d'avant-poste contre Troppau en tant que colonel des Banal Hussars, devint général de division, déjoua toutes les tentatives des Turcs de percer notre ligne de cordon dans la guerre turque en Croatie et en 1789 abolit les sucurs envoyés par le Pacha de Scutari à la Bosnie. Promu Feldmarschall-Lieutenant en 1789, il reçoit le commandement de la frontière de Karlstadt et meurt à l'âge de 61 ans à Vienne le 2 janvier 1793.

2) L'attribution de notre régiment à Frh. Lié à Wallisch, im t . k. Les documents originaux survivant dans les archives de guerre se lisent comme suit :
« Vienne, le 7 février 1790. Cher maréchal Hadik ! Je veux nommer le maréchal lieutenant comte Ferdinand von Harrach propriétaire du régiment de Chevaux Légers à mon nom et donner le régiment de cuirassiers de Harrach, qui sera éliminé en conséquence, au maréchal lieutenant Wallisch. Joseph député "
,,,,Brevet. Au Feldmaréchal-Lieutenant Wallisch. Vienne, le 10 février 1790.
Lit. G. Non. 2005. Joseph II. Que nous notre (titre) Wallisch dans la plus douce considération des services fructueux qui nous ont été rendus ainsi qu'à notre plus illustre Archhaus, et que nous poursuivons toujours des services fructueux, résultant de la confirmation de notre plus haute satisfaction et de la plus gracieuse confiance placée en sa personne en tant que notre vrai suprême sur le Harrachische Cuirassiers Rgt temporel désormais établi, gracieusement nommé et élevé. "
Pour le Feldmarschall-lieutenant Wallisch. Après S. Maytt le gentleman (noms et titres) dans le plus doux égard pour ses bons et rentables services de guerre précédemment rendus et toujours continus, suite à la confirmation de la plus haute satisfaction et de la confiance placée en sa personne, les Cuirassiers Harrachian maintenant installés - Regt.
""
avec tous les régts. au propriétaire de la propriété de prérogative du brevet délivré sous la signature suprême de telle manière que le même à partir du jour où la taxe de terrain qui s'y rapporte cesse à ce moment-là, les Regts. Le titulaire devrait avoir à payer : Ainsi, ce décret du Très-Haut devient son seigneur. . . pour les nouvelles, bonne assurance, et annoncé jusqu'à la fin, afin qu'il puisse correctement instruire le colonel Ngtsomendant Roth de l'époque sur la façon de prendre soin du Negts-Commando et savoir comment s'attaquer au bon ordre, à la discipline et à l'entretien continu du Regt exige peut, comme l'a dit H. Regts Comendant, et tous les Regt avec des histoires de subordination, et obéissant au Seigneur . .... est instruit sous un. “ ww Pour le colonel et le commandant du régiment Roth. Joseph II.
Depuis Nous voulons dire (titre) Wallisch dans la plus douce considération du service militaire bénéfique qui nous a été rendu ainsi qu'à notre plus illustre Archhaus et qui continue toujours, pour confirmation.
Notre plus haute satisfaction, et de la confiance la plus gracieuse qui repose en sa personne comme notre véritable suprême sur le régiment de cuirassiers Harrachien confié à votre commando, avons gracieusement nommé et nommé : Nous vous le signifions gracieusement jusqu'au bout, afin que vous soyez pas seul F. M. Lt. Pour reconnaître Wallisch comme votre supérieur suprême, et le respecter, le suivre dans nos plus hautes affaires officielles et gouvernementales, pour exécuter dûment les ordres de subordination militaire, mais aussi les autres états-majors et officiers supérieurs et l'ensemble du gouvernement en général, vous savez peut-être comment instruire pour une observation uniforme. "

1) Karl Eugen Prince c. Lorraine 2c. le dernier rejeton de cette illustre et illustre famille naquit à Versailles le 25 septembre 1751.
En tant que vassal du roi de France, il voue ses services à ce souverain. Il était grand écuyer de Louis XVI et propriétaire du régiment Royal Allemandragoner, ces Allemands
Troupe de cavalerie au service français, commandée par des princes impériaux allemands pendant plus d'un siècle, acceptée au service impérial en janvier 1793 et ​​incorporée dans l'actuel 6e régiment de dragons.
La Révolution française fit entrer la Lorraine au service impérial ; il est nommé général de division en juin 1791 et en 1794 propriétaire du 7e régiment de cuirassiers.
Le prince trouva bientôt l'occasion de déployer d'une manière éclatante le courage inné dans la famille ; il a servi comme brigadier dans l'armée des Pays-Bas et s'est couvert de gloire pendant la guerre. Lorsque les Français attaquèrent Tournay le 22 mai 1794, avec plusieurs colonnes et pressèrent principalement notre centre à force de foie, si bien que l'infanterie dut battre en retraite, le prince, à la tête de quatre escadrons de Karaiczai-Cheraurlegers, attaqua l'ennemi stationné sur la colline de Templeuve avec une telle bravoure qu'environ 500 hommes furent massacrés et trois canons capturés. Il occupa alors le village de Bloudain avec deux escadrons, et appuya si efficacement l'infanterie que l'ennemi fut complètement vaincu.
Lorsque le Feldzeugmeister Graf Kaunit attaqua le corps d'observation ennemi de Charleroy dans sa position retranchée près d'Heppignes le 26 juin, une de nos jufanterie risquait d'être encerclée par trois régiments de cavalerie ennemis. Lorraine s'est précipitée avec quatre escadrons de l'archiduc Albert - Karabiniers dem Histoire de t. t. 7e régiments de dragons.

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WALLISCH
Mailand, Wien.
Italien, Österreich.

- Christoph Andreas Baron de WALLISCH von STREHLENBERG und LANGENTHALL, geboren 1732 in Mailand, Freiherr am 06.07.1771, mit Prädikat „von Strehlenberg und Langenthall“, gestorben in Wien (Österreich), am 02.01.1793.

Wappen:
" Écartelé: aux 1 et 4, d'or, à l'aigle de sable, couronnée du champ; aux 2 et 3, de gueules, à deux guidons écartelés de sable et d'or, passés en sautoir, et deux chaînes d'or pendantes du bout de chaque hampe. Sur le tout d'argent à un homme, vêtu d'un habit de sinople, les basques bordées de sable, rebrassé du même, le rabat aussi de sable, coiffé d'un bonnet du même, sommé d'une plume d'autruche d'argent, l'homme posé sur une terrasse de sinople. "
- Trois casques couronnés.
- Cimiers: 1° un vol coupé, à dextre d'or sur sable, à senestre d'argent sur gueules.
- Lambrequin: d'or et de sable; 2° l'homme, issant.
- Lambrequin: d'argent et de sinople; 3° les guidons, chaque hampe munie d'une seule chaîne.
- Lambrequin: d'argent et de gueules.

Quellen :
- Wappenbuch der Oesterreichischen Monarchie, von J.A. Tÿroff in Nürnberg, 1847.
- Armorial général d’Europe, par J.B. Rietstap (Gouda, 1861).
- Armorial d'Europe par J.B. Rietstap (Gouda, 1884, Berlin, 1934) (Gouda, 1887, Berlin 1937).
- Armorial général J.B. Rietstap, illustré par Victor et Henri Rolland (1903-1926). Colorisé par Lionel Sandoz (1993-2002).


Historische und biographische Anmerkung :

Am 10. Februar 1790 erhielt Feldmarschall-Leutnant Christof Freiherr von Wallisch die Inhaberschaft unseres Regimentes 2) . Nach seinem am 2. Jänner 1793 zu Wien erfolgten Ableben folgte ihm der General der Cavallerie Karl Eugen Prinz von Lothringen ¹, Fürst von Lambest, Graf von Brienne, am 22. Juni 1794 in dieser Würde.

1 ) ChristofFreiherr v. Wallisch war 1732 zu Mailand geboren.
Er trat nach dem Aachener Frieden in die Armee und zeichnete sich unter dem General der Cavallerie Grafen Althann durch Wachsamkeit, durch eingebrachte wichtige und verläßliche Rapporte und unermüdliche Thätigkeit so aus, daß er 1759 vom Cornet zum Hauptmann bei den Szluinern ernannt und von Landon wiederholt zu den wichtigsten und geheimsten Aufträgen verwendet wurde.
Im Jahre 1759 behauptete sich Wallisch mehrere Monate hindurch auf einem wich tigen Posten des in der Gegend von Platen gezogenen Cordons und verschaffte durch unermüdliches Patrouilliren dem hinter ihm stehenden Corps eine vollständige Ruhe und Sicherheit.
Durch einen glücklichen Handstreich nahm er die bei dem Einnehmer von Schwarzenberg zusammengebrachten 20.000 Gulden Contributions- und Executionsgelder der preußischen Bedeckung ab und zeichnete sich ebenso bei der Aufhebung des preußischen Partheigängers Froideville durch General Kleefeld und bei Ditmannsdorf aus.
Im Juni 1761 beobachtete er mit vierhundert Croaten und dreihundert Reitern den nach Neisse abgerückten König und setzte durch detaillirte Nachrichten Laudon in die Lage, alle feindlichen Absichten zu vereiteln.
Als der König sich bald darauf nach Oppersdorf zurückzog, besetzte Wallisch den wichtigen Posten bei Zuckmantel, beunruhigte die Preußen bei Tag und Nacht, entging der geplanten Aufhebung, indem er rechtzeitig auf sein Unterstüßungs - Bataillon retirirte und vertrieb die Preußen später wieder aus Zuckmantel.
Zu Deutsch-Wette gefangen, wurde er bald ranzionirt, griff am 8. Jänner 1762 bei Neisse den dortigen mit zwei Bataillonen, fünf Schwadronen Husaren und vier Geschützen ausgerückten Festungs- ommandanten Legrand, der ihn aufheben wollte, herzhaft an, schlug und verfolgte ihn bis an die Thore der Festung. Für seine vortrefflichen Dienste erhielt Wallisch bei der IX. Promotion vom 21 November 1763 das Ritterkreuz des Maria - Theresien - Ordens.
Im baierischen Erbfolgekrieg commandirte er als Oberst der Banal-Husaren den Vorposten- Cordon gegen Troppau, wurde Generalmajor, vereitelte im Türkenkriege in Croatien alle Versuche der Türken, unsere Cordonslinie zu durchbrechen und hob im Jahre 1789 den vom Pascha von Skutari nach Bosnien abgeschickten Succurs auf. Im Jahre 1789 zum Feldmarschall-Leutnant befördert, erhielt er das Commando der Karlstädter Grenze und starb, 61 Jahre alt, zu Wien am 2. Jänner 1793.

2) Die auf die Verleihung unseres Regimentes an Frh. v. Wallisch Bezug habenden, im t . k. Kriegs-Archive erliegenden Original- ocumente lauten :
,,,Wien den 7. Februar 1790. Lieber Feldmarschall Hadik ! Ich will den Feldmarschall-Leutnant Graf Ferdinand von Harrach zum Inhaber des Meinen Namen führenden Chevaux legers Regiments ernennen und das dadurch erledigt werdende Cuirassier- Regiment von Harrach dem Feldmarschall-Leutnant Wallisch verleihen. Joseph m. p. "
,,,,Patent. An den Feldmarschall-Lieutnant Wallisch. Wienn den 10. Feber 1790.
Lit. G. No. 2005. Joseph der Zweyte. Daß Wir Unsern (Titel) Wallisch in mildester Erwegung der Uns und Unserm Durchläuchtigsten Erzhauß geleisteten, und noch fortseßenden ersprießlichen Dienste, folgbar zur Bestättigung Unserer höchsten zufriedenheit und aus dem in dessen Person seßenden huldreichsten Vertrauen als Unsern würklichen Obersten über das sich nun erledigte zeitherige Harrachische Cuirassiers Rgt gnädigst ernennet und erhoben. “
Für den F. M. Lt. Wallisch. Nachdem S. Maytt dem Herrn (Namen und Titel) in mildestem anbetracht dessen bishero geleisteter und noch fortsetzender guten und ersprieß lichen Kriegs Diensten, folgbar zur Bestättigung allerhöchst dero Zufriedenheit und aus dem in dessen Person seßenden Vertrauen das nun erledigte Harrachische Cuirassiers - Regt.
""
mit allen einem Regts. Innhaber zustehenden praerogativen Vermög des unter Allerhöchster Signatur ausgefertigten Patents dergestalten zu verleyhen allergnädigst geruhet, daß derselbe von dem Tag an, wo desselben dermalen beziehende Feldgebühr seinerzeit aufhöret, die Regts. Innhabers Gebühr zu überkommen haben soll : So wird diese Allerhöchste Entschließung ihm Herrn . . . zur Nachricht, guten Versicherung, und zu dem Ende bekannt gemacht, auf daß derselbe den dermaligen Ngts- omendanten Obersten Roth wegen Besorgung des Negts- Commando gehörig zu belehren und dasjenige, was die gute Ordnung, Disciplin und fortwährige Aufrechthaltung des Regts erfordert, anzukehren wissen möge, gleichwie besagter H. Regts Comendant, und das ganze Regt mit dem Subordinationsmäßigen Aufsehen, und gehorsam an den Herrn . .... untereinem angewisen wird. “ ww Für den Obersten und Regts Commendanten Roth. Joseph der Zweyte.
Da Wir unsern (Titel) Wallisch in mildester Erwegung dessen Uns und Unserem Durchlauchtigsten Erzhauß geleisteten und noch fortseßenden ersprießlichen Kriegsdiensten zur Bestättigung
Unserer höchsten Zufriedenheit, und aus dem in seine Person seßenden huldreichesten Vertrauen als Unsern würklichen Obersten über das Deinem Commando anvertraute zeithero geweste Harrachische Cuirassiers Regt gnädigst ernennet und bestellet haben: So be deuten Wir Dir solches zu dem Ende hierdurch gnädigst, auf daß Du nicht allein für Deine Person gedachtem F. M. Lt. Wallisch als Deinen vorgesetzten würklichen Obersten zu erkennen, und zu achten, folgbar desselben in Unsern höchsten Diensts- und Regts- ngelegen heiten ertheilende Befehle der Militar Subordination gemäß gebührend zu vollziehen, sondern auch die übrige Staabs- und Ober- Officiers und überhaupt das ganze Regt zur gleichmäßigen Beobachtung anzuweisen wissen mögest. "

1) Karl Eugen Prinz v. Lothringen 2c. der letzte Sproffe dieses erlauchten und berühmten Geschlechtes, war zu Versailles am 25. September 1751 geboren.
Seine Dienste widmete er als Vasall des Königs von Frankreich diesem Souverän. Er war Oberstallmeister Ludwig's XVI und Inhaber des Royal Allemand- ragoner- egiments, jener deutschen
Reitertruppe in französischen Diensten, welche seit mehr als einem Jahrhundert von deutschen Reichsfürsten commandirt, im Jänner 1793 in kaiserliche Dienste übernommen und dem heutigen 6. Dragoner- egimente einverleibt wurde.
Die französische Revolution veranlaßte Lothringen in kaiserliche Dienste zu treten ; er wurde im Juni 1791 als Generalmajor angestellt und 1794 Inhaber des 7. Kürassier Regiments.
Der Prinz fand bald Gelegenheit den der Familie angeborenen Muth auf eine glänzende Weise zu bethätigen ; er stand als Brigadier bei der Armee in den Niederlanden und bedeckte sich im Verlaufe des Krieges mit Ruhm. Als die Franzosen am 22. Mai 1794 Tournay mit mehreren Colonnen angriffen und hauptsächlich unser Centrum mit lebermacht drängten, so daß die Infanterie zurückweichen mußte, attaquirte der Prinz an der Spitze von vier Schwadronen Karaiczai- Cheraurlegers den auf der Anhöhe von Templeuve aufgestellten Feind mit solcher Bravour, daß gegen 500 Mann zusammen gehauen und drei Kanonen erobert wurden. Mit zwei Schwadronen besetzte er nun das Dorf Bloudain und unterstützte die Infanterie so zweckmäßig, daß der Feind gänzlich zum Weichen gebracht wurde.
Bei dem Angriffe des Feldzeugmeisters Grafen Kaunit am 26. Juni auf das feindliche Observationscorps von Charleroy in dessen verschanzter Stellung bei Heppignes war ein Theiunserer Jufanterie in Gefahr von drei feindlichen Cavallerie - Regimentern umzingelt zu werden. Lothringen eilte mit vier Schwadronen von Erzherzog Albert - Karabiniers dem Geschichte des t. t. 7. Dragoner-Regiments.

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WALLISCH
Milano, Vienna.
Italia, Austria.

- Christoph Andreas Barone de WALLISCH von STREHLENBERG und LANGENTHALL, nato nel 1732 a Milano, Barone il 6 luglio 1771, con predicato "von Strehlenberg e Langenthall", morto a Vienna (Austria), il 2 gennaio 1793.

Stemma:
" Inquartato : 1a e 4a, d'oro, all'aquila di nero, incoronata con il campo; 2a e 3a, di rosso, due frontiere squartate di nero e di oro, in croce in Sant'Andrea, e due catene di pendenti dall'estremità di ciascuna asta. Su tutto d'argento a un uomo, vestito con un abito di verde, le code bordate di nero, rebrashed dello stesso, il lembo anche di nero, che indossa un berretto dello stesso, sormontato da una piuma di struzzo d'argento, l'uomo che riposa su un terrazzo di verde."
- Tre elmi coronati.
- Cimerio: 1° a un volo troncato, a destra d'oro su nero, a sinistra d'argento sul rosso.
- Lambrequin: d'oro e di nero; 2° l'uomo, uscente.
- Lambrequin: d'argento e di verde ; (3) il manubrio, ciascun albero dotato di una singola catena.
- Lambrequin: d'argento e di rosso.

Fonti:
- Wappenbuch der Oesterreichischen Monarchie, von J.A. Tÿroff a Norimberga, 1847.
- L'Armoriale Generale d'Europa, di J.B. Rietstap (Gouda, 1861).
- Armorial of Europe di J.B. Rietstap (Gouda, 1884, Berlino, 1934) (Gouda, 1887, Berlino 1937).
- Armorial generale J.B. Rietstap, illustrato da Victor e Henri Rolland (1903-1926). Colorato da Lionel Sandoz (1993-2002).

Nota storica e biografica:

Il 10 febbraio 1790, il feldmaresciallo-tenente Christof Freiherr von Wallisch ¹ ) ricevette la proprietà del nostro reggimento 2) . Dopo la sua morte a Vienna il 2 gennaio 1793, fu sostituito dal generale di cavalleria Karl Eugen, principe di Lorena¹, principe di Lambest, conte di Brienne, il 22 giugno 1794.

1) Christof Freiherr ca. Wallisch nacque a Milano nel 1732.
Si arruolò nell'esercito dopo la pace di Aix-la-Chapelle e si distinse sotto il generale di cavalleria del conte Althann per la sua vigilanza, per rapporti importanti e affidabili e per un'attività instancabile che fu nominato capitano nel 1759 dal Cornet al Szluinern e più volte promosso da Landon gli ordini più importanti e segreti.
Per diversi mesi nel 1759 Wallisch occupò una posizione importante nel cordone tracciato nella regione di Platen, e con instancabili pattuglie diede al corpo che stava dietro di lui completa pace e sicurezza.
Con un riuscito colpo di stato ottenne il contributo di 20.000 fiorini e fondi di esecuzione della copertura prussiana raccolti dall'esattore di Schwarzenberg e si distinse anche nell'abolizione del partigiano prussiano Froideville da parte del generale Kleefeld ea Ditmannsdorf.
Nel giugno 1761, con quattrocento croati e trecento cavalieri, vide il re ripiegare su Neisse e, grazie a informazioni dettagliate, permise a Laudon di contrastare tutte le intenzioni nemiche.
Quando il re si ritirò a Oppersdorf poco dopo, Wallisch ricoprì l'importante incarico di Zuckmantel, allarmò i prussiani giorno e notte, sfuggì alla prevista abolizione ritirandosi in tempo al suo battaglione di supporto, e in seguito cacciò nuovamente i prussiani da Zuckmantel.
Catturato su una scommessa tedesca, viene presto saccheggiato.
L'8 gennaio 1762 nei pressi di Neisse attaccò vigorosamente il comandante della fortezza, Legrand, che vi si trasferì con due battaglioni, cinque squadroni di ussari e quattro cannoni alle porte della fortezza. Per i suoi eccellenti servizi ricevuti da Wallisch al IX. Promozione del 21 novembre 1763 della Croce di Cavaliere dell'Ordine di Maria Teresa.
Nella guerra di successione bavarese comandò il cordone dell'avamposto contro Troppau come colonnello degli ussari banali, divenne maggiore generale, sventò tutti i tentativi dei turchi di sfondare il nostro cordone nella guerra turca in Croazia e nel 1789 abolì i sucurs inviati da il Pascià di Scutari in Bosnia. Promosso feldmaresciallo tenente nel 1789, ricevette il comando della frontiera di Karlstadt e morì all'età di 61 anni a Vienna il 2 gennaio 1793.

2) L'attribuzione del nostro reggimento a Frh. Correlato a Wallisch, im t . K. I documenti originali sopravvissuti negli archivi di guerra recitano come segue:
“Vienna, 7 febbraio 1790. Caro maresciallo Hadik! Voglio nominare a mio nome il maresciallo tenente conte Ferdinand von Harrach proprietario del reggimento di cavalli leggeri e dare il reggimento di corazzieri di Harrach, che sarà conseguentemente eliminato, al maresciallo tenente Wallisch. Giuseppe deputato"
,,,,Brevetto. Al feldmaresciallo-tenente Wallisch. Vienna, 10 febbraio 1790.
Letto. G.No. 2005. Giuseppe II. Che noi il nostro (titolo) Wallisch nella più dolce considerazione dei fruttuosi servizi resi a noi e al nostro più illustre Archhaus, e che continuiamo sempre fruttuosi servizi, derivanti dalla conferma della nostra più alta soddisfazione e della più graziosa fiducia riposta nella sua persona come nostro vero supremo sull'ormai stabilito, gentilmente nominato ed elevato Harrachische Cuirassiers Rgt temporale. "
Per il feldmaresciallo-tenente Wallisch. Dopo S. Maytt il Gentiluomo (nomi e titoli) Nel più dolce rispetto per i suoi buoni e proficui servizi in guerra precedentemente resi e tuttora continuanti, in seguito alla conferma della massima soddisfazione e fiducia riposta nella sua persona, i Corazzieri Harrachian ora si insediarono - Regt .
""
con tutte le regole. al titolare della proprietà prerogativa del brevetto rilasciato sotto la firma suprema con le stesse modalità dal giorno in cui cessa in quel momento l'imposta fondiaria ad esso relativa, i Regg. Il detentore dovrebbe pagare: Così, questo decreto dell'Altissimo diventa il suo signore. . . per la notizia, buona assicurazione, e annunciata fino alla fine, in modo che possa istruire adeguatamente l'allora colonnello Ngtsomendant Roth su come prendersi cura del Negts-Commando e sapere come attaccare il buon ordine, alla disciplina e al mantenimento continuo di il Regt richiede può, come disse H. Regts Comendant, e tutti i Regts con storie di subordinazione e obbedienti al Signore. .... è educato sotto uno. “ww Per il colonnello e comandante di reggimento Roth. Giuseppe II.
Poiché Intendiamo (titolo) Wallisch nella dolcissima considerazione del benefico servizio militare reso a noi e al nostro illustre Archhaus e tuttora in corso, per conferma.
La nostra più alta soddisfazione, e con la più graziosa fiducia che ripone nella sua persona come nostro vero supremo sul reggimento di corazzieri Harrachian affidato al tuo commando, abbiamo gentilmente nominato e nominato: non solo F. M. Lt. Riconoscere Wallisch come vostro supremo superiore, e rispettarlo, seguirlo nei nostri più alti affari ufficiali e governativi, eseguire debitamente gli ordini di subordinazione militare, ma anche altri alti stati maggiori e ufficiali e l'intero governo in generale, potresti sapere come istruire per un'osservazione uniforme. "

1) Karl Eugen Prince c. Lorena 2c. l'ultimo rampollo di questa illustre ed illustre famiglia nacque a Versailles il 25 settembre 1751.
Come vassallo del re di Francia, ha dedicato i suoi servizi a questo sovrano. Era gran scudiero di Luigi XVI e proprietario del reggimento reale tedesco, questi tedeschi
Truppa di cavalleria al servizio francese, comandata da principi imperiali tedeschi per oltre un secolo, accettata al servizio imperiale nel gennaio 1793 e incorporata nell'attuale 6° Reggimento Dragoni.
La Rivoluzione francese portò la Lorena al servizio imperiale; fu nominato generale di divisione nel giugno 1791 e nel 1794 titolare del 7° reggimento di corazzieri.
Il principe trovò ben presto l'occasione di sfoggiare in maniera brillante il coraggio innato nella famiglia; prestò servizio come brigadiere nell'esercito olandese e si coprì di gloria durante la guerra. Quando i francesi attaccarono Tournay il 22 maggio 1794, con diverse colonne e pressarono principalmente il nostro centro con la forza del fegato, così che la fanteria dovette ritirarsi, il principe, a capo di quattro squadroni di Karaiczai-Cheraurlegers, attaccò il nemico di stanza sulla collina di Templeuve con tale coraggio che circa 500 uomini furono massacrati e tre cannoni catturati. Occupò quindi il villaggio di Bloudain con due squadroni e sostenne la fanteria in modo così efficace che il nemico fu completamente sconfitto.
Quando Feldzeugmeister Graf Kaunit ha attaccato il corpo di osservazione nemico a Charleroy nella sua posizione trincerata vicino a Heppignes il 26 giugno, uno dei nostri fanti ha rischiato di essere circondato da tre reggimenti di cavalleria nemici. La Lorena si precipitò con quattro squadroni dell'arciduca Alberto - Carabinieri dem Storia di t. t. 7° Reggimento Dragoni.

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