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de ROCHAS d'AIGLUN

de ROCHAS d'AIGLUN_Provence, Dauphiné._France (+)

DE ROCHAS D'AIGLUN

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DESCRIPTION

de ROCHAS d'AIGLUN
Provence, Dauphiné.
France

Armoiries:
" D'or, à la croix pommetée de gueules, au chef d'azur chargé d'une étoile d'or. "
- Cimier: une aigle couronnée issante.
- Supports: deux aigles couronnées.

Note :
Melchior de Rochas, seigneur d'Aiglun, conseiller au parlement de Provence en 1572.
Joseph-Dominique de Rochas d'Aiglun, auteur d'une histoire manuscrite du Dauphiné , déposée à la bibliothèque royale de Grenoble ( † à Gap, le 27 août 1807) .
- Cette famille a fourni plusieurs chevaliers à l'ordre de Malte, entre autres :
- Pierre de Rochas d'Aiglun, en 1532 ;
- Balthazard et Honoré de Rochas d'Aiglun , en 1556 ; Guyot de Rochas d'Aiglun, en 1579; etc.
(V., pour plus de détails , l'Hist. du Comtat-Venaissin ; Guy Allard ; Chorier ; Vertot, Hist . de Malle ; Saint-Allais ; l'Album du Dauphiné; etc., etc.)
Armes : " de gueules, à une rose d'or sans tige , surmontée d'un croissant d'argent. "
Résidence : Briançon (Hautes-Alpes)
Sources : Armorial historique de la noblesse de France, par Henri James Gabriel de Milleville, 1845.

La famille de Rochas d'Aiglun actuelle, originaire du Gapençais, n'est pas apparentée à l'ancienne famille noble éteinte du même nom, originaire de Valensole, dans les Alpes-de-Haute-Provence.
- C'est Jacques François Joseph Rochas (1761-1815) qui se fit appeler Rochas Aiglun, et c'est son fils, Joseph Eugène Rochas (1805-1898), juge au tribunal de Briançon, qui fit officialiser le nom de Rochas d'Aiglun par un jugement en rectification d'état-civil du tribunal civil de Gap.
Selon Joseph Roman, ce jugement était « complaisant ou insuffisamment motivé ».
- Albert de Rochas d'Aiglun est le fils d'Eugène Marie Joseph de Rochas d'Aiglun (1805-1878), juge au tribunal de Briançon, et de Camille Félicité Jayet (1813-1894).
Son arrière grand-père, Joseph-Dominique Rochas (1733-1807), avocat de formation, premier consul de Gap de 1762 à 1764, puis maire de Gap de 1775 à 1777 a écrit Mémoire sur la ville de Gap depuis l'origine jusqu'à l'an 1800 et son grand-père, Jacques François Joseph Rochas (1761-1817), avocat au Parlement, bailli de Champsaur avant la Révolution française, puis juge au tribunal civil de Gap, a écrit Nouveau pas sur les Sentiers de la Nature.
Sources : Wikipédia



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