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SANDOZ

SANDOZ_Peinture Lionel Sandoz_Suisse (peinture signée)

SANDOZ

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DESCRIPTION

SANDOZ
Peinture signée Lionel Sandoz, 1968.

SANDOZ
Le Locle
Valengin
Neuchâtel
Suisse

Vitrail Sandoz dans la Collégiale de Valangin.
Photo: Lionel Sandoz, Copyright © 2009. Tous droits réservés.

Armoiries:
" D'azur, à une Foi d'or, mouvant des flancs, accompagnée en chef de deux roses du même et en pointe d'un feu de gueules. "
- Cimier: un bras, armé d'argent, la main de carnation brandissant une hache d'armes d'argent.
- Devise: SINE DOLO

SANDOZ.
- Famille originaire du Locle où elle est citée dès la seconde moitié du XIVe siècle, bourgeoise de Valangin dès 1508 et de Neuchâtel dès 1659.
- Elle s’est répandue à La Brévine, Dombresson, Bâle et dans le canton de Vaud.
- Jean-Jacques Sandoz, fils de David, premier maire de La Chaux-des-Taillères (Brévine), fut anobli en 1657 par Henri II de Longueville.
- Son fils Henri ayant épousé Anne-Marie de Bonstetten, les seigneuries de Travers, Noiraigue et Rosières entrèrent dans sa famille.
- Jean-Henri de Sandoz (1698-1753), descendant d’un fils cadet de Jean-Jacques ci-dessus, ayant épousé Sarah-Elisabeth Rollin, dernière de sa famille, prit, ainsi que ses descendants, le nom de SANDOZ-R0LLIN.
- Son fils David reçut du roi de Prusse le titre de baron qui ne fut pas entériné à Neuchâtel.
- Charles-Louis de Sandoz. dernier membre d’un rameau collatéral de cette même branche, adopta en 1873 son petit-neveu, Alphonse Franel (1809-1892) qui prit le nom et les armes des Sandoz.
- Son fils Charles mourut en 1904.
- C’est à d’autres branches qu’appartenaient Henri Sandoz (1730-1820), du Locle, colonel au service de France, qui fut anobli par Louis XVIII et dont le fils mourut en 1859.
- Claude-François Sandoz, lieutenant-général au service de Hollande qui fut anobli en 1776 par l’empereur Joseph II.
- Isaac Sandol, tige de la famille SANDOL-ROY.

Note historique:
Le Locle est une ville et une commune suisse du canton de Neuchâtel, située dans la région Montagnes. Surnommée la « Mère commune de Montagnes »
En 1848, dans la continuité des événements parisiens, Le Locle — dont le territoire est alors rattaché à la Prusse — devient le berceau de la Révolution neuchâteloise.
Le 29 février 1848, les révolutionnaires neutralisent les autorités et le service d'ordre prussiens.
Cet acte entraîne la proclamation immédiate de la République. La révolution se répand sur l'ensemble du territoire, depuis les Montagnes et le Val-de-Travers sur le Littoral. Le 1er mars, la République est officiellement proclamée sur l'ensemble du territoire.
Inauguré en 1525, le clocher du Temple du Locle, le Vieux Moutier, est un emblème de la Ville, car il constitue l’un des plus vieux bâtiment de l’Arc jurassien.
Le projet d’érection de celui-ci sur une nef préexistante est lancé au début du XVIe siècle par des paroissiens et le curé du Locle, Etienne Besancenet.
Quelques années après la construction de la tour, en 1536, Le Locle se rallie à la foi protestante.
Cette ancienne église a été reconstruite au milieu du XVIIIe siècle.
Une église allemande a été construite en 1844, mais démolie en 1967.
Une chapelle catholique a finalement été autorisée en 1861.
En 1592, les fiefs de Valangin retournèrent dans le Comté de Neuchâtel, mais ni le statut juridique des résidents de l'Hôtel de Ville du Locle ni sa fonction de tribunal de district ne furent affectés.
L'alliance de 1476 avec Berne reste en vigueur pendant la guerre de Trente Ans et alors que les hordes armées du dictateur Louis XIV ravagent la Franche-Comté, des soldats bernois apportent leur soutien pour défendre la ville contre l'oppresseur.
En contrepartie, la commune du Locle envoie des soldats pour soutenir ses alliés en 1712 lors des batailles de Mellingen et Villmergen.
La situation du Locle près de la frontière française a souvent permis à la ville d'entretenir des relations étroites avec la France.
C'était particulièrement vrai pendant les années qui ont précédé la Révolution française.
De nombreux habitants du Locle, réunis au club Jacobin de Morteau, jurent leur soutien à la Constitution de 1792.
L'esprit révolutionnaire a conduit à des conflits entre les partisans de la révolution et l'ancien gouvernement.
La répression gouvernementale qui s'ensuivit poussa de nombreux habitants du Locle à l'exil au printemps 1793.
Plusieurs centaines de personnes se sont installées à Besançon, où elles ont trouvé du travail à l'usine horlogère nationale qui avait été créée par la Convention nationale.
De retour au Locle, ils ont amené des horlogers compétents et une attitude républicaine.
En 1707, la Principauté de Neuchâtel a été confiée au roi Frédéric Ier de Prusse des Hohenzollern, basé à Berlin, qui a ensuite dirigé Neuchâtel en union personnelle. Napoléon Bonaparte déposa le roi Frédéric Guillaume III de Prusse comme prince de Neuchâtel et nomma son chef d'état-major Louis-Alexandre Berthier.
En 1814, la principauté est restituée à Frédéric Guillaume III.
Un an plus tard, il accepta de permettre à la principauté d'adhérer à la Confédération suisse, alors non pas encore une fédération intégrée, mais une confédération, en tant que membre à part entière. Neuchâtel devient ainsi la première et la seule monarchie à rejoindre les cantons suisses par ailleurs entièrement républicains.
Cela changea en 1848, lorsque la révolution neuchâteloise commença au Locle.
Les forces royalistes se rendirent rapidement et le 28 février 1848, le drapeau de la République helvétique, symbole de la république, fut hissé sur la ville.
La nouvelle république et le nouveau canton ont créé la préfecture du Locle, qui a existé jusqu'en 1935.
Pendant la contre-révolution infructueuse de 1856, la ville fut brièvement occupée par les royalistes.
Le Locle a été brûlé à trois reprises par de grands incendies (1683, 1765, 1833).
Il a été reconstruit à son aspect actuel dans le deuxième quart du XIXe siècle, car il est devenu un centre de l'industrie horlogère.
(Wikipédia)


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SANDOZ
Le Locle
Valentin
Neuenburg
Schweiz

Buntglasfenster von Sandoz in der Stiftskirche von Valangin.
Foto: Lionel Sandoz, Copyright © 2009. Alle Rechte vorbehalten.

Wappen:
" Blau, ein 2 treue Hände Golden, der sich von den Flanken bewegt, begleitet von zwei Rosen desselben und auf der Basis eines Feuer-Rot. "
- Helmzier: Ein Arm, mit Silber bewaffnet, die Nelkenhand schwingt eine silberne Streitaxt.
- Wahlspruch: SINE DOLO

SANDOZ.
- Familie aus Le Locle, wo sie ab der zweiten Hälfte des 14. Jahrhunderts erwähnt wird, seit 1508 bürgerlich aus Valangin und seit 1659 aus Neuchâtel.
- Es hat sich auf La Brévine, Dombresson, Basel und im Kanton Waadt ausgebreitet.
- Jean-Jacques Sandoz, Sohn von David, erster Bürgermeister von La Chaux-des-Taillères (Brévine), wurde 1657 von Henri II de Longueville zum Ritter geschlagen.
- Nachdem sein Sohn Henri Anne-Marie de Bonstetten geheiratet hatte, traten die Herrschaften von Travers, Noiraigue und Rosières in seine Familie ein.
- Jean-Henri de Sandoz (1698-1753), Nachkomme eines jüngsten Sohnes von Jean-Jacques oben, nahm, nachdem er Sarah-Elisabeth Rollin, die letzte seiner Familie, geheiratet hatte, wie auch seine Nachkommen den Namen SANDOZ-R0LLIN an.
- Sein Sohn David erhielt vom König von Preußen den Barontitel, der in Neuchâtel nicht ratifiziert wurde.
-Charles Louis de Sandoz. letztes Mitglied eines Nebenzweiges desselben Zweiges, adoptierte 1873 seinen Großneffen Alphonse Franel (1809-1892), der den Namen und das Wappen der Sandoz annahm.
- Sein Sohn Charles starb 1904.
- Henri Sandoz (1730-1820) aus Le Locle, Oberst in französischen Diensten, der von Ludwig XVIII. zum Ritter geschlagen wurde und dessen Sohn 1859 starb, gehörte anderen Zweigen an.
- Claude-François Sandoz, Generalleutnant in holländischen Diensten, der 1776 von Kaiser Joseph II. in den Adelsstand erhoben wurde.
- Isaac Sandol, Stamm der SANDOL-ROY Familie.

Historischer Hinweis:
Le Locle ist eine Schweizer Stadt und Gemeinde im Kanton Neuenburg in der Region Montagnes. Spitzname „Gemeinsame Mutter der Berge“
Nach den Ereignissen in Paris wurde Le Locle 1848, dessen Gebiet damals zu Preußen gehörte, zur Wiege der Neuenburger Revolution.
Am 29. Februar 1848 neutralisierten die Revolutionäre die preußischen Behörden und die Polizei.
Dieser Akt beinhaltet die sofortige Ausrufung der Republik. Die Revolution breitet sich über das ganze Territorium aus, von den Bergen und dem Val-de-Travers bis zum Littoral. Am 1. März wird im ganzen Land offiziell die Republik ausgerufen.
Der 1525 eingeweihte Glockenturm des Tempels von Le Locle, le Vieux Moutier, ist ein Wahrzeichen der Stadt, da er eines der ältesten Gebäude des Jurabogens ist.
Das Projekt, es auf einem bereits bestehenden Kirchenschiff zu errichten, wurde zu Beginn des 16. Jahrhunderts von Gemeindemitgliedern und dem Pfarrer von Le Locle, Etienne Besancenet, ins Leben gerufen.
Einige Jahre nach dem Bau des Turms, im Jahr 1536, trat Le Locle dem protestantischen Glauben bei.
Diese alte Kirche wurde Mitte des 18. Jahrhunderts wieder aufgebaut.
Eine deutsche Kirche wurde 1844 gebaut, aber 1967 abgerissen.
Eine katholische Kapelle wurde schließlich 1861 genehmigt.
1592 fielen die Lehen von Valangin an die Grafschaft Neuchâtel zurück, aber weder die Rechtsstellung der Einwohner des Rathauses von Le Locle noch seine Funktion als Bezirksgericht waren davon betroffen.
Das Bündnis mit Bern von 1476 blieb während des Dreißigjährigen Krieges in Kraft, und als die bewaffneten Horden des Diktators Ludwig XIV. die Franche-Comté verwüsteten, leisteten Berner Soldaten Unterstützung bei der Verteidigung der Stadt gegen die Unterdrücker.
Im Gegenzug schickte die Gemeinde Le Locle 1712 Soldaten zur Unterstützung ihrer Verbündeten während der Schlachten von Mellingen und Villmergen.
Die Lage von Le Locle nahe der französischen Grenze hat es der Stadt oft ermöglicht, enge Beziehungen zu Frankreich zu pflegen.
Dies galt insbesondere in den Jahren vor der Französischen Revolution.
Viele Einwohner von Le Locle, die sich im Jakobinerclub von Morteau versammelt haben, schwören ihre Unterstützung für die Verfassung von 1792.
Der revolutionäre Geist führte zu Konflikten zwischen den Anhängern der Revolution und der damaligen Regierung.
Die darauf folgende staatliche Repression trieb im Frühjahr 1793 viele Bewohner von Le Locle ins Exil.
Mehrere hundert Menschen ließen sich in Besançon nieder, wo sie in der vom Nationalkonvent gegründeten nationalen Uhrenfabrik Arbeit fanden.
Zurück in Le Locle brachten sie kompetente Uhrmacher und eine republikanische Haltung mit.
1707 wurde das Fürstentum Neuenburg dem in Berlin ansässigen König Friedrich I. von Preußen der Hohenzollern anvertraut, der Neuenburg in Personalunion regierte. Napoleon Bonaparte setzte König Friedrich Wilhelm III. von Preußen als Prinzen von Neuchâtel ab und ernannte seinen Stabschef Louis-Alexandre Berthier.
1814 wurde das Fürstentum an Frédéric Guillaume III zurückgegeben.
Ein Jahr später stimmte er zu, das Fürstentum als Vollmitglied in die Schweizerische Eidgenossenschaft aufzunehmen, damals noch kein integrierter Bund, sondern eine Eidgenossenschaft. Damit schloss sich Neuenburg als erste und einzige Monarchie den sonst gänzlich republikanischen Schweizer Kantonen an.
Dies änderte sich 1848, als in Le Locle die Neuenburger Revolution begann.
Die royalistischen Kräfte kapitulierten schnell und am 28. Februar 1848 wurde die Flagge der Helvetischen Republik, das Symbol der Republik, über der Stadt gehisst.
Die neue Republik und der neue Kanton schufen die Präfektur Le Locle, die bis 1935 bestand.
Während der erfolglosen Konterrevolution von 1856 wurde die Stadt kurzzeitig von den Royalisten besetzt.
Le Locle wurde dreimal durch Großbrände niedergebrannt (1683, 1765, 1833).
Es wurde im zweiten Viertel des 19. Jahrhunderts zu seinem heutigen Aussehen umgebaut, als es sich zu einem Zentrum der Uhrenindustrie entwickelte.


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SANDOZ
Le Locle
Valengin
Neuchâtel
Svizzera

Vetrata Sandoz della Collegiata di Valangin.
Foto: Lionel Sandoz, Copyright © 2009. Tutti i diritti riservati.

Stemma:
" d'azzurro, un Fede d'oro, muovendosi dai fianchi, accompagnato in capo da due rose dello stesso e in base a un fuoco di rosso."
- Cimiero: un braccio, armato d'argento, la mano di garofano che brandisce un'ascia da battaglia d'argento.
- Motto: SINE DOLO

SANDOZ.
- Famiglia originaria di Le Locle dove è citata dalla seconda metà del XIV secolo, borghese di Valangin dal 1508 e di Neuchâtel dal 1659.
- Si è diffuso a La Brévine, Dombresson, Basilea e nel canton Vaud.
- Jean-Jacques Sandoz, figlio di David, primo sindaco di La Chaux-des-Taillères (Brévine), fu nominato cavaliere nel 1657 da Henri II de Longueville.
- Suo figlio Henri avendo sposato Anne-Marie de Bonstetten, le signorie di Travers, Noiraigue e Rosières entrarono nella sua famiglia.
- Jean-Henri de Sandoz (1698-1753), discendente di un figlio più giovane di Jean-Jacques sopra, avendo sposato Sarah-Elisabeth Rollin, ultima della sua famiglia, prese, così come i suoi discendenti, il nome di SANDOZ-R0LLIN.
- Suo figlio David ricevette dal re di Prussia il titolo di barone che non fu ratificato a Neuchâtel.
- Carlo Luigi de Sandoz. ultimo membro di un ramo collaterale di questo stesso ramo, adottò nel 1873 il pronipote Alphonse Franel (1809-1892) che prese nome e stemma dei Sandoz.
- Suo figlio Charles morì nel 1904.
- Henri Sandoz (1730-1820), di Le Locle, colonnello al servizio della Francia, nominato cavaliere da Luigi XVIII e il cui figlio morì nel 1859, apparteneva ad altri rami.
- Claude-François Sandoz, luogotenente generale al servizio dell'Olanda, nobilitato nel 1776 dall'imperatore Giuseppe II.
- Isaac Sandol, ceppo della famiglia SANDOL-ROY.

Nota storica:
Le Locle è una città svizzera e comune nel cantone di Neuchâtel, situato nella regione Montagnes. Soprannominata la "Madre Comune delle Montagne"
Nel 1848, in seguito agli eventi di Parigi, Le Locle – il cui territorio era allora annesso alla Prussia – divenne la culla della Rivoluzione di Neuchâtel.
Il 29 febbraio 1848 i rivoluzionari neutralizzarono le autorità e la polizia prussiane.
Tale atto comporta l'immediata proclamazione della Repubblica. La rivoluzione si estende su tutto il territorio, dalle Montagne e la Val-de-Travers al Litorale. Il 1 marzo viene ufficialmente proclamata la Repubblica su tutto il territorio.
Inaugurato nel 1525, il campanile del Tempio di Le Locle, le Vieux Moutier, è un emblema della città, in quanto è uno degli edifici più antichi dell'Arco del Giura.
Il progetto di erigerla su una navata preesistente fu lanciato all'inizio del XVI secolo dai parrocchiani e dal parroco di Le Locle, Etienne Besancenet.
Pochi anni dopo la costruzione della torre, nel 1536, Le Locle aderì alla fede protestante.
Questa vecchia chiesa fu ricostruita a metà del XVIII secolo.
Una chiesa tedesca fu costruita nel 1844, ma demolita nel 1967.
Una cappella cattolica fu finalmente autorizzata nel 1861.
Nel 1592 i feudi di Valangin tornarono alla contea di Neuchâtel, ma né lo status giuridico dei residenti del municipio di Le Locle né la sua funzione di tribunale distrettuale furono intaccati.
L'alleanza del 1476 con Berna rimase in vigore durante la Guerra dei Trent'anni e mentre le orde armate del dittatore Luigi XIV devastavano la Franca Contea, i soldati bernesi fornirono supporto per difendere la città dall'oppressore.
In cambio, il comune di Le Locle inviò soldati per sostenere i suoi alleati nel 1712 durante le battaglie di Mellingen e Villmergen.
La posizione di Le Locle vicino al confine francese ha spesso permesso alla città di mantenere stretti rapporti con la Francia.
Ciò era particolarmente vero durante gli anni che precedettero la Rivoluzione francese.
Molti abitanti di Le Locle, riuniti al circolo giacobino di Morteau, giurano il loro sostegno alla Costituzione del 1792.
Lo spirito rivoluzionario ha portato a conflitti tra i sostenitori della rivoluzione e l'ex governo.
La conseguente repressione governativa portò all'esilio molti residenti di Le Locle nella primavera del 1793.
Diverse centinaia di persone si stabilirono a Besançon, dove trovarono lavoro presso la fabbrica nazionale di orologi creata dalla Convenzione Nazionale.
Tornati a Le Locle, hanno portato orologiai competenti e un atteggiamento repubblicano.
Nel 1707 il Principato di Neuchâtel fu affidato al re Federico I di Prussia degli Hohenzollern, con sede a Berlino, che allora governò Neuchâtel in unione personale. Napoleone Bonaparte depose il re Federico Guglielmo III di Prussia come principe di Neuchâtel e nominò suo capo di stato maggiore Louis-Alexandre Berthier.
Nel 1814, il principato fu restituito a Frédéric Guillaume III.
Un anno dopo, ha accettato di consentire al principato di aderire alla Confederazione Svizzera, allora non ancora una federazione integrata, ma una confederazione, come membro a pieno titolo. Neuchâtel divenne così la prima e unica monarchia ad unirsi ai cantoni svizzeri altrimenti interamente repubblicani.
La situazione cambiò nel 1848, quando a Le Locle iniziò la rivoluzione di Neuchâtel.
Le forze realiste si arresero rapidamente e il 28 febbraio 1848 fu issata sulla città la bandiera della Repubblica Elvetica, simbolo della repubblica.
La nuova repubblica e il nuovo cantone crearono la prefettura di Le Locle, che esistette fino al 1935.
Durante la fallimentare controrivoluzione del 1856, la città fu brevemente occupata dai monarchici.
Le Locle fu bruciata tre volte da grandi incendi (1683, 1765, 1833).
Fu ricostruito nell'aspetto attuale nel secondo quarto del XIX secolo, quando divenne un centro dell'industria orologiera.
(Wikipedia)



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