DESCRIPTION
LE CHEVALIER de LA MARTRE et de GRANDCHAMP
Bretagne.
France.
- Bon Pierre Gabriel Le Chevalier de La Martre, Officier , Chevalier de l'Ordre de Saint Louis à 22 ans le 30 septembre 1796, Maire de Brest de 1823-1826. Né le 26 octobre 1775, décédé le 6 mai 1847 à 71 ans.
Armoiries :
"D'azur, à trois chevaliers ou alouettes de mer d'argent becquées et membrées de gueules, au chef d'argent de trois coquilles de sable."
Alias,
Branche de la Martre (inscrit en 1787 par devant le juge d'arme):
"D'or à une martre couronnée de sable, surmontée d'une épée de gueules en pal la pointe en haut."
Sources :
- Filiations Bretonnes par Frotier de la Messelière, 1912.
Notice généalogique :
Bon Pierre Gabriel LE CHEVALIER DE LA MARTRE
Officier , Chevalier de l'Ordre de Saint Louis (30 septembre 1796, à 22_ans, Maire de Brest (1823-1826)
Né le 26 octobre 1775
Décédé le 6 mai 1847, à l’âge de 71 ans.
Union(s) et enfant(s)
Marié le 17 juillet 1805 (mercredi), AVRANCHES 50, avec Flavie Constance DE CLINCHAMP 1779- (Parents : Léonor Pierre M DE CLINCHAMP 1736-1783 & Louise M DE GUITTON DE LA VILLEBERGE ca 1750-) dont :
Albert Ambroise LE CHEVALIER DE LA MARTRE ca 1806-
Antoinette M Flavie LE CHEVALIER DE LA MARTRE 1808-
Bon Louis LE CHEVALIER DE LA MARTRE ca 1810-
Notes individuelles
- Emigra en 1791, servit dans le Régiment noble d'Angoulême, puis au premier escadron des Chevaliers de la Couronne, et fit toutes les campagnes de l'armée des Princes. (cf. : L'Histoire de l'Armée de Condé, par Th. Muret.)
- Au combat de Schussenried, le 30 septembre 1796, une action d'éclat (**) lui valut, à l'âge de vingt-deux ans, la croix de Chevalier de Saint-Louis.
Ce fait d'armes est constaté par deux certificats des Princes, et par diverses pièces signées par le Prince de Broglie, le Duc d'Harcourt, le Comte de Béthisy, etc., témoins oculaires.
Sources :
https://gw.geneanet.org/garric?lang=en&n=le+chevalier+de+la+martre&oc=0&p=albert+ambroise
https://gw.geneanet.org/garric?lang=en&n=le+chevalier+de+la+martre&oc=0&p=bon+pierre+gabriel
Family Tree owner : Alain GARRIC (garric)
''Essai de Généalogie'', par Alain GARRIC
«Des Ascendants de ma Famille, Leurs Descendants...et, plusieurs Ascendants de Leurs Collatéraux».
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Généralités :
LE CHEVALIER de LA MARTRE ! Que dire sur LE CHEVALIER de LA MARTRE ?
« Au temps qui détruit tout, l'homme répond par l'image »
LE CHEVALIER de LA MARTRE est un nom qui s'accompagne d'un blason.
Origine du blason " LE CHEVALIER de LA MARTRE " : " Bretagne, France.... "
Sont-ils tous descendants d'un ancêtre commun qui s'appelait « LE CHEVALIER de LA MARTRE. »
L'origine du nom de famille LE CHEVALIER de LA MARTRE n'est pas une personnification du hasard.
A la vérité, les LE CHEVALIER de LA MARTRE ont, eux aussi, écrit l'histoire, à l'ombre de grands personnages.
Et, les armoiries LE CHEVALIER de LA MARTRE ne suffisent pas à expliquer les raisons de votre curiosité.
Toutes images « LE CHEVALIER de LA MARTRE », dans l'écoulement du temps, symbolisent la permanence des LE CHEVALIER de LA MARTRE dans l'Histoire.
Le sceau des LE CHEVALIER de LA MARTRE scelle ainsi, la charte de la position « mortel immortel » de cette famille ?...
Héraldique LE CHEVALIER de LA MARTRE.
Un désastreux préjugé hérité de la Révolution française (20 juin 1790), laissa penser que les armoiries étaient l'apanage de la noblesse.
Les nobles ne furent pas les seuls à posséder leurs blasons.
Les Etats, les villes, les provinces, les corporations, les ecclésiastiques, les laïques, les roturiers, etc. eurent leurs armoiries.
De nos jours, toute personne qui le désire, peut porter et arborer un blason.
Trop souvent, l'héraldique est considérée comme une discipline dominée des prétentions nobiliaires.
En fait, le blason permet d'identifier une famille, une personne.
Donner un « état civil » à de nombreux objets : œuvre d'art, antiquités, vaisselles, livres, etc., tout en les datant.
LE CHEVALIER de LA MARTRE « Droit d'images ».
Chacun peut découvrir que son nom a laissé un « droit d'images » qui nous vient de l'Antiquité.
On nommait ainsi, en droit romain, le privilège par les patriciens seuls d'exposer, sous l'atrium de leur maison, leur propre image et celles de leurs ancêtres.
Dans certains cas, on brisait les images de ses ancêtres et on les jetait à terre pour les fouler aux pieds.
C'est ce que l'on fit plus tard avec tous les blasons et armoiries de France pendant la Révolution.
“ Nous descendons tous d'un roi et d'un pendu ”
Jean de La Bruyère
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